Libérez vos mots, lisez sans limite ! Publiez et découvrez gratuitement

Accueil > Classique > La maison Tellier

La maison Tellier

La maison Tellier

Guy de Maupassant (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 171

Version publiée le 26 février 2013

Les statistiques du livre

819 lecteurs ont feuilleté le livre

914 lecteurs ont inclus ce livre dans leur bibliothèque.

Evaluer le livre "La maison Tellier"

2 votes

Note Moyenne

5/5 sur 2 votants

Thème : Classique

La quatrième de couverture

La maison Tellier

On allait là, chaque soir, vers onze heures, comme au café, simplement.
Ils s’y retrouvaient à six ou huit, toujours les mêmes, non pas des noceurs, mais des hommes honorables, des commerçants, des jeunes gens de la ville ; et l’on prenait sa chartreuse en lutinant quelque peu les filles, ou bien on causait sérieusement avec Madame, que tout le monde respectait.
Puis on rentrait se coucher avant minuit. Les jeunes gens quelquefois restaient.
La maison était familiale, toute petite, peinte en jaune, à l’encoignure d’une rue derrière l’église Saint-Étienne ; et, par les fenêtres, on apercevait le bassin plein de navires qu’on déchargeait, le grand marais salant appelé « la Retenue » et, derrière, la côte de la Vierge avec sa vieille chapelle toute grise.

La première page

en cours de rédaction
  

Biographie de Guy de Maupassant

Issu de la petite noblesse de Province, Guy de Maupassant est né en 1850 au château de Miromesnil près de Dieppe en Normandie. Après la séparation de ses parents en 1860, il vit avec sa mère près des paysans. Chassé du préceptorat d’Yvetot pour son rationalisme, il entre au lycée de Rouen ou,...

Autres(s) parution(s) de l'auteur

Une vie

Une vie

Jeanne, ayant fini ses malles, s’approcha de la fenêtre, mais la pluie ne cessait pas. L’averse, toute la nuit, avait sonné contre les carreaux et les toits. Le ciel, bas et chargé d’eau, semblait crevé, se vidant sur la terre, la délayant en bouillie, la (…)

2012

Miss Harriet

Miss Harriet

Nous étions sept dans le break, quatre femmes et trois hommes, dont un sur le siège à côté du cocher, et nous montions, au pas des chevaux, la grande côte où serpentait la route. Partis d’Étretat dès l’aurore, pour aller visiter les ruines de (…)

2013

Notre coeur

Notre coeur

Un jour Massival, le musicien, le célèbre auteur de Rébecca, celui que, depuis quinze ans déjà on appelait « le jeune et illustre maître », dit à André Mariolle, son ami : – Pourquoi ne t’es-tu jamais fait présenter à Mme Michèle de Burne ? Je t’assure (…)

2013

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Dans le même rayon : Classique

La Maison du chat qui pelote

La Maison du chat qui pelote

Au milieu de la rue Saint-Denis, presque au coin de la rue du Petit-Lion, existait naguère une de ces maisons précieuses qui donnent aux historiens la facilité de reconstruire par analogie l’ancien Paris.

Le Bon Dieu de Chemillé qui n'est ni pour ni contre

Le Bon Dieu de Chemillé qui n’est ni pour ni contre

Midi sonne aux cloches des fabriques ; les grandes cours silencieuses s’emplissent de bruit et de mouvement. La mère Achille quitte son ouvrage, la fenêtre où elle était assise, et se dispose à mettre son couvert. L’homme va monter pour déjeuner.

La conquête de Plassans

La conquête de Plassans

Elle avait pris à sa mère un chiffon, dont elle travaillait depuis un quart d’heure à faire une poupée, en le roulant et en l’étranglant par un bout, à l’aide d’un brin de fil. Marthe leva les yeux du bas qu’elle raccommodait avec des délicatesses de broderie.