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Le masque de Dimitri Semionovitch

Le masque de Dimitri Semionovitch

Delapore (Auteur)

❤️ Ce livre est un "Coup de cœur des lecteurs"

Nombre de pages en A4 : 12

Version publiée le 10 mai 2021 - (Premère publication sur Edition999 le 29 janvier 2015)

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Thème : Fantastique

La quatrième de couverture

J’ai autrefois beaucoup lu les romans de Léon Tolstoï et de Dostoievski, et j’en ai retenu l’atmosphère de la Russie tsariste du XIX° siècle. J’ai également songé à Jean Lorrain et sa nouvelle "Les trous du masque". J’ai trouvé ce thème fascinant, car le masque permet soit de masquer sa véritable identité, soit, en fanstasmant un personnage, de la révéler au contraire. J’ai choisi une héroïne qui vit mal son époque et aspire au progrès dont son pays est coupé, régi par le Tsar et la Religion Orthodoxe, des évolutions politiques et morales de la France. D’où un mal être qui peut susciter en elle des craintes imaginaires ou réelles. Au final, le vieux fond russe ressurgira en elle. On n’échappe pas à son indentité culturelle. Le thème du vampire est très connu en Russie, on le sait moins, sous le nom d’oupires.C’est justement un Russe, Alexis Tolstoï (pas Léon), qui est l’auteur entre autres fictions d’une des premières histoires de vampires réellement réussies, "La famille du Vourdalak", en 1840.

La première page

Piotr Alexeiev Gortschakov mettait les dernières retouches à son uniforme, son domestique corrigeant le faux pli de son col, lorsque le majordome lui apporta le fameux colis.
L’étrange paquet avait été trouvé par ce dernier sur le perron de la porte d’entrée, abandonné par le mystérieux livreur qui avait usé du heurtoir à plusieurs reprises jusqu’à être apparemment certain que l’on ouvrirait, avant de disparaître à la vue du majordome pour des raisons que l’homme ne pouvait s’expliquer... Le mot “colis” était peut être excessif, car le papier cartonné d’un brun sale, maculé de terre humide, enveloppant malhabilement un objet informe à l’aide de ficelles élimées ne s’en approchait que d’une manière des plus approximatives. Un billet, pourtant, accompagnait le paquet, griffonné dans une écriture si désordonnée que Piotr fut incapable de reconnaître l’auteur de ces lignes brèves et laconiques, et qui se résumaient à ceci : “Voilà un présent pour le bal de ce soir ! Faites en bon usage, et vous en surprendrez plus d’un.”
Amusé par cette absence de signature et ce message énigmatique, le jeune homme défit aisément les ficelles et écarta rapidement le papier sale pour en extirper un objet qui renforça encore son amusement...
C’était un masque.
Mais pas n’importe quel masque.

  

Biographie de Delapore

Ambassadeur Edition999

J’habite en Alsace depuis toujours, à deux pas de Strasbourg, dans un village appelé Eckbolsheim (cela m’amuse toujours de penser que certains lecteurs auront du mal à épeler ce nom à voix haute !). Mes diplômes en Droit et en Histoire ne m’ont que relativement servis puisque je suis...

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9 discussions

  • 9 février 2015, par DELAPORE

    Bonsoir à tous,

    Merci pour votre commentaire élogieux, même s’il n’est pas nuancé de critiques négatives (mais relever les défauts permet à l’auteur de s’améliorer), élaboré et particulièrement long, comme celui de Pierrette Robard.

    Puisque vous êtes deux à me dire que certaines séquences étaient superflues, je présume que vous devez avoir raison.

    Comme vous me le dites, l’ambiance de cette histoire est délètère et faite de romantisme. C’est peut être justement ce qui explique l’absence d’actions et le fait que je me suis évertué à n’introduire l’élément surnaturel que de manière suggestive, et non spectaculaires.

    Je me fais aussi l’impression parfois d’être trop bavard dans mes fictions - comme dans mes commentaires, d’ailleurs. Je suppose que je ne sais pas encore quant il faut être prodige en détails dans certains cas ou économe dans certains autres.

    Le style et la syntaxe ont malheureusement toujours été mon talon d’Achille : je sens que je maîtrise le fond de l’histoire, mais pas nécessairement la forme.

    Je suis bien conscient également que mon handicap peut être principal a été le choix difficile de m’inspirer d’auteurs de référence, ceux qui ont marqué le XIX° siècle, voire la première moitié du XX°. Le défi que je me suis lancé par admiration pour ceux que vous citez est délicat : comment s’inspirer d’une certaine tradition fantastique gothique sans pour autant donner dans le plagiat ou le pastiche, mais tout en se refusant à adapter les thèmes classiques du fantastique sur un ton résolument moderne, un ton que je prise peu, même si la plupart des autres auteurs ne s’y adonnent que trop bien ?

    Comme on dit, ils sont de leur temps et ils s’aiment. Moi, j’écris selon ma personnalité et non selon les désidératas du grand public. En somme, je me refuse à être de mon temps et je ne m’aime pas. J’écris simplement de manière parfois passéiste parce que je préfère nettement le passé que le présent.

    Je vous rassure, je n’entends pas surpasser en popularité les auteurs que vous me citez. Je ne suis prêt à aller au devant du public qu’à la condition qu’il accepte de son coté de faire l’effort d’aller au devant de ma personnalité. C’est à prendre ou à laisser, et au diable la célébrité.

    De toute manière, je suis persuadé que, au sein des amateurs de littérature, je ne suis pas le seul à penser ainsi. Je n’accuse pas mes collègues de démagogie et j’admire souvent leur talent à remettre le fantastique au goût du jour.

    Mais hélas, ces goûts ne sont pas les miens.Tout le monde ne peut écrire comme Stephen King ou Graham Masterton, et surtout, s’il arrive que j’ai opéré quelques tentatives dans cette direction pour ajouter "quelques cordes à mon violon", les récits que j’ai rédigé avec le plus de convictions ne sont pas de ceux là.

    Néanmoins, je trouve injustifié - nonobstant mes travers è le sort lamentable réservé par le présent public à des textes prédécents comme "Dance macabre" qui était pourtant rédigé sur un ton moderne, ou "Une inconnue en Rhodésie" dans la tradition de Ridder Haggard. Et si j’étais encombré de tant de tares, pourquoi ne se sont ils jamais donné la peine de les relever ne serait ce que par un bref commentaire, aussi négatif soit-il ?

    Il existe certainement un public potentiel pour moi. Il me reste à le trouver. S’il n’existe pas sur Edition999, je le chercherai ailleurs, il doit bien se trouver quelque part.

    Pour le reste, vous me citez Lovecraft, Gogol,Arthur Machen, et même Edgar Poe ! Cela vaut pour moi toutes les louanges du monde. Et je ne peux que me sentir flatté par les aspects élogieux de votre commentaire, même si je consacre plus de temps à défendre ce qui me tient tant à coeur, donc les aspects négatifs que l’on peut relever en moi.

    Je vous remercie donc (au même titre que les autres commentateurs) de vous avoir donné la peine de me lire, et de me laisser une chance. Car le comportement de trop de lecteurs, indépendamment de mes propres insuffisances, est plutôt des plus grégaires.

    En résumé, ils sont à la recherche prioritaire de ce que le plus grand nombre d’autres lecteurs ont apprécié avant eux, se dispensant ainsi de prendre des risques. L’idée de laisser une chance à un auteur moins populaire ne leur viendrait même pas à l’esprit. Or si le public est roi, je suis empereur.

    Ayant l’avantage de ne pas chercher à vivre de mon écriture, je continuerai à écrire comme je l’aime, soyez en rassuré. Ce qui n’exclut pas que je puisse tenir compte des réserves que l’on pourrait me formuler. A condition toutefois qu’elles soient formulées. Ce fut loin d’être le cas autrefois.

    Aussi, j’invite les lecteurs à l’esprit ouvert et indépendant de caractère comme je le suis à lire non seulement la présente nouvelle, mais également les deux textes précités.

    Je suis, Monsieur, votre (peu) humble serviteur.

  • 7 février 2015, par Dominique Piérard

    Bonjour à tous,

    Je viens de lire cette chouette nouvelle de Delapore et je voudrais partager mes sentiments sur ce texte.

    Comme Pierrette Robard, je dirais que certaines descriptions sont parfois trop longues et n’apportent pas toujours grand-chose à l’intrigue en elle-même. Surtout, le récit manque d’action à mon sens, et le mystère n’est entretenu que par trop de fines allusions fantastiques au gré de l’histoire ; mais la fin supplée à ces manquements, me rappelant la "grandiloquence" (le terme n’est pas péjoratif, contrairement à ce que l’on pourrait croire) d’un certain Edgar (Allan) Poe que l’héroïne de cette nouvelle ne connaissait pas (encore, la pauvre) !

    J’ai bien aimé l’ambiance générale et le contexte de la Russie tsariste se prêtant bien à une histoire fantastique faite de romantisme et d’ambiance délétère. L’entièreté de la nouvelle me fait d’ailleurs penser à l’excellent "William Wilson" du précité Edgar Poe, ce qui n’est pas une mince référence !

    Malgré quelques longueurs et autres petites fautes de syntaxe (absence quasi-systématique de tirets adéquatement placés), le style général du texte me parait donc fort bon même si son “pitch” et la tournure générale ne révolutionnent pas le genre de la nouvelle fantastique, un genre périlleux pour qui s’y coltine car, Delapore sera le premier à le reconnaitre je pense, il est bien difficile de re-générer des idées et thématiques souvent traitées par ailleurs par des auteurs professionnels qui en font ou en ont fait leur registre de commerce, parfois avec grand talent (j’ai déjà cité le plus grand d’entre tous : Edgar Poe, mais pensons également à H.P. Lovecraft – son grand suiveur et élève autoproclamé, ainsi que Arthur Machen, Maupassant, Gogol et autres).

    Je souligne donc l’habileté avec laquelle Delapore parvient à conduire son récit jusqu’au bout et, si le tout est très classique, l’ensemble me semble fort convaincant pour un texte “amateur”.

    Que rajouter de plus ? Je ne peux qu’encourager l’auteur à poursuivre ses efforts et à continuer à livrer ses textes sur des plateformes où il sera loisir de les lire, pour notre plus grand plaisir !

    Bon courage et bonne chance pour la suite Delapore, car suite il y aura, je ne peux qu’en être sûr !

    Bien amicalement,

    Dominique Piérard
    (de Bruxelles)

  • 4 février 2015, par Pascal Fritsch

    Merci Pierrette pour avoir apprécié ma nouvelle, je suis content d’avoir apporté un peu de joie à plusieurs personnes dans ce monde si triste et si insipide ;)

    Il n’appartient qu’à vous de ne pas lire les commentaires des autres. Il faut être conscient que les lecteurs sont libres de commenter au risque de dévoiler le fin mot de l’histoire. Prenez plutôt le risque de vous en passer et lisez les après votre lecture seulement.

    Le nombre d’étoiles et de "J’aime" (et le mode de présentation de l’ebook, j’espère) étaient déjà là pour attester que vous ne perdriez pas nécessairement votre temps à lire ce dernier.

    Vous avez raison : l’intérêt de l’histoire n’était pas uniquement centrée sur le final, d’autant plus que j’ai des doutes sur l’avis du commentateur anonyme. La seule chose réellement prévisible à mon sens était que le récit tournerait au drâme, car mes récits prédédents sont toujours assez pessimistes. Mais j’ai lu peu d’oeuvres fantastique qui se terminaient bien.

    Encore plus noire ? Là, j’ai fais dans la dentelle sur le mode traditionnel (où les événements me semblent suffisamment ambigüs, notamment l’attitude de Dimitri) Hier, j’ai relu l’une des mes nouvelles certainement les plus "trash", tant pour l’horreur que pour le sexe. Et encore plus désespérante.

    Il est possible que certaines séquences étaient trop longues (je suis très bavard - voyez vous même la longueur de ce message !) mais j’ai cru que cela favoriserait justement le suspense. Selon vous, elles distrayeraient du thème central de l’histoire. Vous avez peut être raison. On a toujours besoin d’un avis extérieur pour s’améliorer. C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles je publie.

    C’est pourquoi je comprends votre aigreur au sujet de la nouvelle que je n’avais lue, mais sachez, si cela peut vous consoler, que la même expérience m’est arrivée à plusieurs reprises, notamment avec "La tournée", "Dance macabre" et "Une inconnue en Rhodésie" - tout particulièrement ce dernier dans lequel j’avais beaucoup mis de moi même.

    Résultat au finish : zéro commentaires, zéro notes, zéro "j’aime". Je dois encore m’estimer heureux qu’il n’existe pas de - 5 étoiles sur + 5 ! (quoique...)

    Mais c’est surtout l’indifférence des lecteurs qui m’a mortifiée. J’aurais encore préférer des commentaires négatifs à un silence à la limite du mépris. Mais, que voulez vous, on ne peut mettre un couteau sous la gorge du public, c’est lui qui décide.

    Allez, courage ! Pour vous remonter un peu le moral, je vais aller voir du coté de votre nouvelle, mais je vous préviens : je serais franc et sans concessions, c’est la loi du milieu ici !

    Vôtre.

    DELAPORE

  • 3 février 2015, par Pierrette Robard

    En toute franchise, j’aurais préféré ne pas avoir lu que la fin était prévisible à la 6ème page car ça a un peu gâché ma lecture. En effet, en lisant, je focalisais trop sur ce qui me mettrait sur la voie alors que l’histoire n’est pas seulement cela.
    J’ai aimé l’histoire surtout par son ambiance. Je pense d’ailleurs qu’elle aurait pu être un peu plus noire encore.
    Un petit avis personnel : certaines descriptions sont peut-être trop longues pour cette histoire courte car elles n’entretiennent pas le suspens mais au contraire nous en distraient.
    Mais je vous félicite, en plus d’avoir écrit l’histoire, d’avoir décroché des commentaires ! J’ai moi-même publié "Double Casquette" pour lequel je n’en ai eu aucun, ce que j’ai trouvé très frustrant, peu importe le nombre de lecteurs qui l’ont lu.
    Merci pour cette lecture.

  • 2 février 2015

    Un texte qui se lit bien, malgré des paragraphes comportant beaucoup d’énumérations de livres ou autres.
    Les livres fantastiques ne sont pas mes lectures préférées, néanmoins cette nouvelle m’a tenu en haleine.

  • 1er février 2015, par Pascal Fritsch

    Bonjour,

    Le final est prévisible dès la 6° page, dites vous ? C’est fort possible. Vous devez être un fan de Stephen King et de son recueil de nouvelles "Danse macabre", c’est votre droit le plus strict. Je n’y vois que deux conceptions différentes de la littérature d’épouvante.

    Les récits de l’illustre HP LOVECRAFT sont souvent prévisibles aussi. Je pense que le final, aussi déterminant soit-il, ne doit pas constituer le but ultime d’une fiction. Il peut ne pas être déconcertant si le reste de la fiction est bien construite.

    S’agissant du thème, celui du vampire a été revu par des centaines d’écrivains (et c’est pire au cinéma)C’est un peu comme si j’écrivais une histoire de loup-garou et que vous me citiez Pétrone comme quoi on a déjà vu cela quelque part.

    L’essentiel n’est pas l’originalité du thème en soi, me semble t’il, mais la manière dont il est adapté. J’ai choisi à dessein le XIX° siècle, mais nous n’en sommes tout de même pas à Bram Stoker ! Le masque ne me semble pas si classique que cela comme thème fantastique.

    Qui plus est, la littérature fantastique est limitée dans ses principaux thèmes. Et ce n’est pas la collection "La grande anthologie du fantastique" de Goimard et Stragliati chez Presses Pocket qui en démontrera le contraire (découpage en "Histoires de monstres", "Histoires de morts-vivants", exetera...)

    Cela dit, je vous remercie pour vos commentaires (et j’y inclus les deux autres) pour m’aider à me perfectionner. J’espère que d’autres se donneront la peine de me laisser une chance en lisant cette fiction et de me commenter. Cela prendra sur leur temps, mais qui ne risque rien n’a rien.

    Vôtre.

  • 1er février 2015, par Martine

    Nouvelle fantastique de toute beauté. Malgré quelques maladresses, le style est d’une grande aisance, avec quelques pointes d’humour.

    Même si je ne suis pas une passionnée d’histoire, j’ai aimé l’univers romantique noir revisité par un écrivain du 20ème siècle.

    Le dénouement est surprenant et cauchemardesque.

  • 31 janvier 2015, par Heinrich von Lothringen

    Côté plus :
     Les éléments d’ambiance historique agréables comme si l’on était présent.
     La fluidité du style parsemé de références historiques et littéraires fouillées.
    Côté moins :
     Un thème - depuis le Mythe de Janus - très classique, voire trop.
     Une issue prévisible avant la 6ème page.
    Si je devais comparer l’œuvre à un menu, je dirais : une entrée sympathique, dans l’attente du plat de résistance plus consistant.

  • 30 janvier 2015, par De Keuster David

    Je relève trois aspects accrocheurs dans cette nouvelle
    1. L’aspect historique qui nous replonge dans la Russie des Tsars à l’époque de Nicolas 1er
    2. L’histoire qui maintient le suspens jusqu’au bout même si je ne suis pas un adepte du fantastique.
    3. Un style agréable et qui se lit aisément.

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