Perdu dans ses vieux souvenirs, Al. O’Wolf livre dans ce recueil toute la rage qu’il n’a pas su dire au moment opportun à ceux qui l’ont offensé. Un carnet libérant ses pensées les plus folles, mais surtout ses délires les plus obscurs.
Quand on chante en poésie, on chante la beauté qui éblouit le regard, qui touche le coeur, qui élève l’esprit et extasie l’âme ! Poèmes inspirés du temps, de l’espace du climat actuels. L’actualité y fait écho. Lisez, vous en saurez davantage,
Je l’ai vu à moitié nu, Le corps bien foutu, Mais la tête fichue, Trop fier de son cul.