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Accueil > Littérature > Aram Gulash : Hala des cèdres
Je vous envoie une autre petite histoire qui pourrait faire suite à l’histoire du vent. C’est une histoire banale mais néanmoins intéressante à cause de ses multiples facettes. J’espère qu’elle vous plaira.
Une histoire d’internautes. Réalité ou fiction ?
En ce qui me concerne, j’ai toujours des doutes sur la véracité de ce récit. Aram a peut-être vécu, comme tous les internautes, une rencontre qui a mal tourné. C’est une chose qui arrive souvent. Mais la suite me paraît irréelle.
Aurait-t-il, délibérément, ajouté à son récit des évènements fictifs pour donner au lecteur l’envie de connaitre la fin de son histoire ?
L’histoire que je vais vous raconter n‘a pu se dérouler que grâce à l’informatique et à son enfant prodige, l’Internet.
Une porte s’était ouverte dans le mur du mystère. Un nom en a surgi. C’était le sien. "Tiens, Aram. Prends. Nous ne pouvons pas changer les tablettes du destin mais nous avons fait en sorte qu’elle demeure près de toi de la manière qui te suffit".
Aram n’a pas décrit Hala physiquement. Il est resté muet sur tout ce qui pouvait permettre de remonter jusqu’à elle. Parfois je me demande si cette histoire repose sur quelque chose de tangible. Hala a-t-elle vraiment existé ailleurs que dans l’imagination de cet homme ?
Cette histoire d’une petite fille éveillée dont le destin a dispersé les rêves et déçu les ambitions aurait pu avoir lieu dans n’importe quelle montagne de ce grand pays qu’on appelle l’Algérie.
2022
Ce livre est la complainte d’un rêve qui s’est enfui pour échapper au réel et ses nombreux tourments. Les mots qui peuvent la décrire n’existent pas encore. Même le chant le plus triste ne pourrait l’approcher.
2021
Nous avons eu une chance inouïe de revenir dans l’espace connu. Mais à quel temps se situe notre présent actuel je ne saurais le dire. Le vaisseau est intact, il a encore de longues années de fonctionnement devant lui. Son énergie est inépuisable et nous avons (...)
2021
Août 2000. Une zone pavillonnaire stéphanoise. La journée promet d’être magnifique. La météo est au beau fixe, il va faire chaud.
Debout, vigilants, parce que nous sommes dans l’insoutenable fébrilité de l’être à vouloir demeurer dans la crédulité... Vouloir croire à tout prix alors que le savoir est là, mais sait-on jamais ?
Les bestioles sont partout. Ou volant, ou courant, ou nageant, ou marchant, ou rampant, ou se tortillant, ou dansant le quadrille. Que veulent-elles ? On ne sait pas.
C’est une nouvelle qui retrace l’histoire de deux enfants frappés par le coup de vie, en perdant leur village, amis et famille à cause de la guerre. Des orphelins qui, malgré leur souffrance extrême, parviennent à retrouver le bonheur ; helas un bonheur qui se (...)
13 février 2021, par Djilali Mekrazi
Le poète marche seul dans la forêt sauvage et il salue les fleurs rencontrées en chemin. De temps en temps, l’une d’elles l’attire par son parfum suave et il s’arrête à ses côtés le temps que dure son rêve. Car les fleurs sont capricieuses et leurs liens sont fragiles. Il sort alors de sa torpeur et continue son chemin puisque sa route est encore longue.
Ombre solitaire, il se retourne souvent pour regarder le passé qu’il traîne derrière lui. Des soupirs lui parviennent de ces instants confus comme autant de regrets. Il s’arrête parfois, pensif, sur le bord du chemin. Faut-il traîner indéfiniment ces instants de souffrance et de déception, morts ou agonisants ?
Ces instants moribonds sont les fleurs de ton printemps. Tu ne peux les renier. Ils sont toi, tu es eux. Ils n’appartiennent pas seulement aux reliques du passé car c’est par eux que ton présent fut conçu.