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Accueil > Littérature > Le journal presque intime N°7. La connerie humaine n’a pas de nationalité (...)
C’est la suite je mon journal que j’ai commencé il y a 4 ans. L’idée de cette partie est née depuis un petit moment (depuis 2018). J’ai pris le temps d’étudier le problème. J’ai décidé de ne pas préciser le nom de la ville, car les événements qui suivent pourraient se passer dans une petite ville touristique de Corse, ou chez les Basques, ou encore ailleurs… Il suffit que les gens glissent du respect d’autrui et de la civilité vers le nationalisme extrême et le dénigrement des autres. Comme je le dis dans le titre « la connerie » n’a pas de nationalité. Je suis tout de même obligée de préciser que l’action se passe dans la partie française de la Catalogne.
Ce jour-là, j’ai trouvé dans ma boite à lettre la réponse de mon ex. médecin traitant le Dr. A. (avec lequel j’étais en désaccord) qui me proposait, je le cite : « de changer de région de villégiature » ?! Les lecteurs qui ont lu mes journaux précédents connaissent ce personnage, pour ceux qui ne sont pas au courant, je résume l’histoire :
Nous (mon mari et moi) sommes venus nous installer dans le département des Pyrénées orientales, tout en savourant d’avance les jours agréables et plaisants que nous comptions couler jusqu’à la fin de notre vie. La nouvelle médecin généraliste à laquelle nous nous sommes adressés, nous est d’abord apparu comme une personne sympathique. Elle nous a pris en charge le 12 septembre 2018. Au départ, je ne me suis même pas rendue compte qu’elle m’avait changé mon traitement post-cancer du sein. (ARIMIDEX contre ANASTRAROZOLE). Quatre mois plus tard, ma santé a commencé à se dégrader d’une manière spectaculaire.
J’ai essayé le signaler, mais cette nouvelle généraliste ne considérait pas cela, comme urgent, ni grave. On a dû se rendre à Paris pour consulter notre bon ancien généraliste. Il m’a fait une ordonnance pour une prise de sang et a conseillé de changer le généraliste, chose que nous avons fait en nous adressant au ce Dr. A. qui a immédiatement supprimé l’Anastrazole. Mais le mal était déjà en œuvre : 17/05/2019 j’ai eu ma première crise d’insuffisance hépatique médicamenteuse (voir le tableau du journal N°1 « Vivre avec un cancer »). Quelques semaines plus tard, j’ai commencé à consommer plus d’eau que d’habitude.
Chaque être humain est mortel. Ce corps nous est donné pour expérimenter la vie sur terre, mais le moment venu, nous devons le rendre. Je crois que mon temps est désormais compté ! Le moment est venu de faire un petit bilan.
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