Edition999 rencontre Guy Poursin
Comment écrivez-vous ?
Je m’installe tôt le matin devant mon iMac, je pose mes doigts sur son clavier et j’écris.
Il m’arrive, dans la journée, de dicter mon texte à mon iMac, mais ce n’est pas le plus fréquent
Pourquoi écrivez-vous ?
J’écris pour mon plaisir d’abord, mais aussi pour celui de mes lecteurs.
De plus, j’ai toujours aimé transmettre mes connaissances aux autres.
D’où vous vient votre passion d’écrire ?
De remarques glanées ça et là au cours de ma scolarité, puis de mes travaux de recherche en géographie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques confidentielles.
Le point de départ est toutefois ma collaboration avec l’« Encyclopaedia Universalis » qui m’a confirmé mon envie et mon besoin d’écrire.
À l’époque, dans les années 1970, je ne me voyais pas rédiger un roman. J’ai donc réalisé une sorte d’étude de marché et j’ai décidé, à son issue, de me consacrer aux ouvrages pratiques du style « Gagnes de l’argent avec votre micro-ordinateur » ou encore « Comment vous soigner grâce au silicium organique » ou encore « Les bienfaits du chocolat », etc.
J’ai autoédité un certain nombre d’ouvrages : « Gagnez en Bourse grâce aux warrants », produit boursier dont je suis devenu un spécialiste (j’ai participé pour cette raison à des interview sur la chaîne Bloomberg-Franc, je suis intervenu au Palais des Congrès dans le cadre de « L’Université de la Bourse, « Gagnez en Bourse grâce à l’analyse graphique » et, dans un genre totalement différent « La Luminopédagogie », technique d’apprentissage que j’ai créée en reprenant les travaux du docteur Lefebure.
Comment vous vient le sujet d’une nouvelle ou d’un roman ?
Je lis énormément, je pense donc que je pioche des idées au cours de mes lectures.
Par exemple, l’histoire de mon « Maître de l’eau » m’a été inspirée par les travaux de l’équipe de Jacques Benveniste à l’I.N.R.A., à propos de ce qu’il avait baptisé « La mémoire de l’eau »
Quels sont vos écrivains préférés ?
La liste est énorme, mais mes références sont très classiques : Edmond Rostand pour son « Cyrano de Bergerac », Alexandre Dumas (père et fils), Victor Hugo, Baudelaire, Verlaine et bien d’autres.
Chez les contemporains, j’aime bien Michel Bussi, Fred Vargas, Maxime Chattam, Pierre Lemaître et, pour les étrangers, Dan Brown, Harlan Coben et Stephen King. Une découverte récente, indiquée par une amie, Laurent Gounelle.
LE LIVRE que vous emmèneriez sur une île déserte
Cyrano de Bergerac, indubitablement
Quel est votre mot préféré ?
doute
Quel est votre drogue favorite ?
écriture
Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ?
tu as eu raison
Pensez-vous que les critiques apportent à l’écrivain ?
Oui, il est possible de s’améliorer grâce aux critiques, même négatives
Pourquoi avez-vous choisi de publier sur Edition999 ?
Pour l’originalité du système de diffusion.
Avez-vous des projets en cours ?
Oui, avec un titre en cours de rédaction :
Le « réchauffement climatique », la plus grosse arnaque du siècle et même du millénaire