Jacob Dellacqua travaille d’abord comme ouvrier chez Renault, puis il est successivement garçon de café, livreur, camionneur longue distance, garde du corps, éclairagiste, régisseur de théâtre, preneur de son cinéma[réf. nécessaire].
Il commence à écrire en 1989.
Licencié en psychologie et passionné de plongée sous-marine, il parcourt le monde à la recherche "... du lieu où je serais finalement un autre" (Le Baiser des sirènes, roman).
Le psychanalyste et psychiatre italien Willy Pasini a emprunté pour l’un de ses articles un texte radiophonique de Jacob Dellacqua dont le titre est Transformations et qui résume la quête de l’écrivain :
Avant de naître nous existons déjà, car nous faisons partie des rochers du ciel.
Ensuite le temps coule, le rocher s’effrite, devient sable.
C’est alors que le voyage commence.
Le vent emporte le sable, haut dans le ciel ; il nous tourbillonne à l’infini, jusqu’à ce que le sable devienne poussière. Et lorsque nous sommes poussières, personne ne peut nous voir, personne ne peut nous attraper : nous sommes libres, nous pouvons aimer comme nous le voulons. Et même si nous sommes des pierres, nous sommes alors légers comme la lumière, et comme elle nous ne sommes plus que légèreté, liberté et bonheur.