Je suis d’origine modeste et rien ne me prédisposait à l’écriture, à part l’imagination. J’ai toujours préféré la lecture pour me détendre ou m’informer des nouveautés scientifiques. C’est justement une théorie climatique méconnue qui m’a donné envie, à la quarantaine, de noircir quelques pages pour une nouvelle. L’inspiration et l’imagination se sont ensuite rapidement emballées en pensant à l’indémontrable et à la folie quotidienne des hommes.