Patrick FAYT, s’est retrouvé en 1990 - par ’accident de naissance’ - à la tête de la PME familiale. Avant cela, il a eu une vie riche et variée. Amateur de thrillers d’anticipation et de politique-fiction, depuis toujours passionné d’écriture, c’est une rencontre qui l’a décidé à donner le jour à un premier livre, un roman comme il les aime : un récit troublant et fertile en rebondissements mené à un rythme effréné. L’histoire est dérangeante, car malgré une touche d’ésotérisme, les références qu’il cite sont rigoureusement exactes. À chaque page la fiction se mêle à la réalité ou à ce qui pourrait devenir, un jour, notre actualité. ’La Menace sans Visage’ a été publiée en juin 2012. Malheureusement la maison d’édition a rapidement connu des soucis financiers. Fin janvier 2013, le contrat a été rompu à la demande de l’auteur. En quête d’un nouvel éditeur, mais échaudé par cette première expérience, l’auteur a décidé de tenter l’aventure sur Kindle. Du 9 au 14 juin, l’ebook a été offert à 0 €, durant cette période il est resté en tête des téléchargements gratuits. Proposé ensuite au prix modique de 1 € puis 2,95 €, il devint numéro 12 des ’ventes générales Kindle’ le 16 juin. 100 jours plus tard, il n’avait pas quitté le top 50. Ce résultat dépasse les espérances de son auteur, mais ce qui lui importe plus que tout, ce sont les réactions et encouragements de ses lecteurs qu’il tient à remercier. Si les écrivains existent vraiment c’est grâce à ceux qui leur accordent leur confiance et acceptent de découvrir leurs livres. Dans le cas de ’La Menace sans Visage’, les possesseurs de tablettes et de Kindle ont donné vie à ce premier roman. Des milliers de personnes l’ont téléchargé, en France, en Belgique, en Suisse, en Allemagne, en Grande Bretagne, au Canada aux États-Unis et même au Japon. Ce fut vraiment un résultat inespéré, car grâce au bouche-à-oreille, en 2016 le livre est toujours régulièrement téléchargé, il lui-même arrive de réintégrer le top 100 alors que le site propose plus d’un million d’oeuvres. En 2014, peu après la sortie de ‘La Descente aux Enfers’ l’auteur a été victime de complications rares consécutives à une délicate opération de la colonne vertébrale. De ce fait, il s’est vu contraint de mettre un terme à ses activités professionnelles et pendant plus d’un an les analgésiques l’ont empêché d’écrire correctement plus d’une page. Grâce au soutien de ses médecins et de ses proches, il a appris à vivre avec la douleur dans le but de retrouver ses facultés intellectuelles. Dans les prochains mois, il publiera un nouveau roman solidement documenté, le fruit de deux années de réflexion.