Accueil > Littérature > Au sanctuaire de la vérité

Littérature

Au sanctuaire de la vérité

Sessi Roland KOVENON (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 56

Livre publié le 14 février 2021

Les statistiques du livre

536 vues
414 téléchargements au total.
9 téléchargements sur les 7 derniers jours
1 téléchargement aujourd'hui
218 PDF depuis le début
115 Epub depuis le début
81 Mobi depuis le début

Evaluer le livre :

4 votes

Note globale pondérée

5/5 sur 4 votants
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Thème :
Littérature

La quatrième de couverture

C’est un recueil de cinq nouvelles écrites avec un style poignant. Toutes les nouvelles sont écrites avec le burlesque bien que la satire y bat son plein.

La première page

Quoi ? Tu désires garder le silence ? Tu préfères conserver ces délits entretenus et ces choses malsaines dont t’as été passive pendant des années ? Ma chérie, enlève le voile.
- Oui. Mais…
- Mais quoi ? Ils sont à l’écoute ! Dis leur que c’était depuis quand la nature a commencé par te doter de ces organes qui obligent à appeler le sexe féminin « femme ». Que c’était depuis quand ton arrière train a commencé par prendre une rondeur non négligeable et très plaisante. Que c’était depuis quand ton habit ne garde plus la même forme à la poitrine. Que c’était depuis ces jours que la projection des regards sur toi s’est amplifiée. Alors vas-y.
- …D’accord, j’avais exactement Seize ans. 16 ans de vie soit environ 5840 jours d’existence…
- Rappelle-leur d’abord ton identité et celle de tes parents.
- Depuis lors, la mienne m’échappe souvent. Que dirai-je de celle de mes parents. Si je peux les appeler tous deux ainsi. En tout cas, je suis la fille de ma mère et de mon « père ».
Balbutiant ces mots, je passais ma langue sur mes lèvres lourdes d’une lourdeur dont j’étais la seule qui à connaître le poids. Mes yeux nageaient déjà dans un fleuve de larmes. Ma voix m’avait déjà lâchée. Muette, dans mes mains, se trouvait la corde qui me portera un coup de main pour la pendaison. Disons que j’étais prête pour le voyage funèbre. C’était le mieux possible pour moi. Yêyimin de son côté se révère à mes pieds.

  

Biographie de Sessi Roland KOVENON

Originaire d’Abomey, Sessi Roland KOVENON est né en 1999 à Glazoué où il fit ses études primaires et secondaires avant de continuer ses études universitaires en Lettres Modernes au département des langues à l’Université de Parakou (U.P.). Enivré par les Belles-Lettres et la pratique de l’art de...

Du même auteur

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après : Au sanctuaire de la vérité

Le cheval de Troyes

Le cheval de Troyes

Jeune peintre de talent, Helmut Kellermann fut enrôlé malgré lui dans la Wehrmacht d’Adolf Hitler dans les années quarante. À la fin de la Seconde Guerre mondiale il laissa à ses héritiers un petit carnet aux phrases énigmatiques. Ugo, son (…)

Nguti

Nguti

C’est l’histoire de deux jeunes enfants écrit en français et en pi-gin qui ont vu leurs quotidien changé du jour au lendemain par ce que leurs parents ayant été tués de manière tragique pas les forces dites séparatistes lors de l’actuelle crise dite (…)

Chapitre 14 - Rêve d'amour

Chapitre 14 - Rêve d’amour

Paris 18 H 40. Le Tgv venant de Toulon entre en Gare, de Lyon. Roger Benoist regardait par la vitre, il rêvait de liberté.