Edition999
La plateforme gratuite de diffusion littéraire
Accueil > Fantastique > HENRY PETEUR
HENRY et son grand père manipulés par des gens de leur futur voyagent dans des époques antérieures à leur présent et finissent par se retrouver devant Antioche lors de la première croisade en 1098.
Prologue
L’espérance est un sentiment susceptible d’alimenter la confiance en soi, celui qui l’a perdu, n’aura jamais de regrets, le mystique est toujours un humain qui souhaite oublier quelque chose. Faut-il pour cela, abandonner nos illusions et croire qu’après nous le néant dirigera la vie des autres en se persuadant qu’avant nous rien n’était possible ? Cela reste à inventer, cependant profiter pleinement de notre présent est aussi compliqué que de traverser l’existence sans trace ni douleur morale. Notre foi est une affaire de géographie, chacune la sienne, pouvoir respecter, celle des autres est l’apanage des rois, sachons saisir la chance quand elle se présente pour espérer traverser le temps en laissant une toute petite part de nous-mêmes à nos enfants.
– La vie est déjà triste en soit sans que l’on ait besoin d’évoquer des périodes difficiles, vouloir activer le passé pour lui faire retrouver son attractivité perdue ne sert qu’à essayer de rallumer une flamme définitivement éteinte. Mentionner en ma présence ces éternelles anecdotes dépourvues de signification surtout quand elles sont extériorisées par aucun fait réel ne font que m’agacer un peu plus. Ta grand-mère est une rêveuse qui ferait bien de modérer ses émotions et cesser de se lancer dans des explications autant alambiquées qu’inutiles.
Lily, une jeune archéologue, s’intéresse de très près à la science & aux aventures mystérieuses. Suite à la mort subite de toute la famille De Laurys, Lily se mit en tête d’acheter leur vieille maison mise en vente, pour découvrir le mystère de cette maison, (...)
Depuis son opération Myriam souffrait beaucoup mais restait stoïque et somme toute, pour une adolescente de 17 ans assez courageuse. Toutefois pour calmer la douleur elle pouvait prendre deux ou trois comprimés de Lynix par jour ; un très fort calmant mais (...)
Solitude entreposée et calme plat, c’est tout ce qu’il vit d’abord. Il ne trouva devant lui que cette étrange façade de pierres blanches et élimées, et entourée de forêts obscures et touffues. Au centre de la dite façade, se trouvait le relief souligné d’une porte, (...)
Il n’avait pas de nom. Certain l’appelait le marcheur. Ni famille, ni ami. Ni envie, ni passion. Il était homme à déambuler, à la recherche d’elle, qu‘il avait un jour perdue. Seul, il cherchait son amour (...)