Où chaque plume trouve sa voie, et chaque lecteur son évasion.

Accueil > Littérature > J’ai frappé une femme

Littérature

J’ai frappé une femme

Yves MARTINET (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 17

Livre publié le 18 avril 2011

Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

800 lecteurs ont feuilleté le livre

706 téléchargements au total.
0 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
424 PDF depuis le début
282 Epub depuis le début

Evaluer le livre "J’ai frappé une femme"

0 vote

Thème :
Littérature

La quatrième de couverture

J’ai frappé une femme

Extrait de presse (revue "Culture et Compagnie") : Loin de la violence annoncée, c’est une tendresse chaotique et parfois déroutante qui se raconte au fil des pages, dans une succession de quelques lettres à la bien-aimée, dont l’agencement recompose une histoire qui débute très mal et se termine abruptement. Au lecteur la surprise du plus beau mais le plus étrange poème d’amour, agissant par sa brièveté comme un électrochoc.

La première page

Une femme mariée me poursuivait de ses assiduités.
Assiduités très convaincantes, car elle est bien foutue… Mais elle est mariée. Un jour, elle m’a demandé de lui écrire une lettre.
Je lui ai répondu : “D’accord, à condition que tu m’en écrives une aussi.” Elle a refusé, typiquement coquette, arguant qu’elle n’avait pas l’habitude, qu’elle écrivait mal, etc.
Bref, le traquenard classique.
La prudence exigeait de ne rien faire pour ne s’exposer à rien.
J’optai donc pour prendre le parti inverse et lui écrire un poème d’un érotisme torride décrivant ses avantages et ce que j’en ferais, en termes jolis et avec des rimes sur son prénom.
Que croyez-vous qu’il advint ? La belle, d’abord amusée, puis effrayée de l’audace et n’ayant pas renoncé à être typiquement coquette, résolut de se dédouaner en cette affaire : elle montra la lettre au mari.
Et le mari, que croyez-vous qu’il fit ?
Il vint me trouver pour me dire merci.
Où elle n’avait vu, éprise, qu’érotisme et incitation à l’adultère, lui avait lu que je prenais avec humour ses avances et que je refusais d’y succomber pour ne pas le trahir. Cette histoire véridique illustre la fragilité des témoignages humains.

  

Biographie de Yves MARTINET

L’auteur vit sur la Terre et son pseudonyme l’attend sur la face cachée de la Lune. Yves MARTINET est un auteur qui a décidé de publier sur Edition999 un ou plusieurs ebooks gratuits. Le livre "J’ai frappé une femme" est pour l’instant son seul ebook gratuit publié sur le site Edition999.info....

Du même auteur

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après
J’ai frappé une femme

Anticipations (petite nouvelles)

Anticipations (petite nouvelles)

Une petite nouvelles fantastique de 5 pages, en rapport entre rêve et réalité. Le sommeil veut pas de moi et toi tu rêves depuis longtemps”. Jamais, je n’aurais pu m’imaginer qu’une chanson de Bruel tomberait si à propos. Le radio-réveil indique trois (…)

Ballade en Vercors

Ballade en Vercors

Récit d’une expédition transgressive dans le massif du Vercors où se mêlent fantasmagorie et caricature sociale.

Nos ancêtres vicomtes de Couserans

Nos ancêtres vicomtes de Couserans

En 1970, nous avons acheté un chalet à Guzet dans le Couserans. Ainsi, sans le savoir, nous avons rejoint une terre de nos ancêtres, mais pas n’importe lesquels. Il s’agit des vicomtes de Couserans, depuis le premier Roger Ier jusqu’à Raymond Roger III, (…)