Difficile de suivre les pensées d’un professeur d’ethnologie comparée sur les sentiers de l’Anazomie. Les Pichus, dont il entreprend la chronique après des années d’un silence meurtri, sont-ils son vrai sujet d’étude ? Cet enseignant vieillissant et (…)
Le narrateur rencontre Aurélia à la sortie de Vintimille, tous deux venant d’Italie pour des raisons différentes. De Nice à Paris, elle lui tiendra compagnie, au cours d’une idylle décisive. Traqué par des mafiosi, ils emprunteront l’ancienne route (…)
Je pensais en avoir fini avec les rebondissements, je m’étais fourré le doigt dans l’oeil... De nouveaux acteurs, tapis dans l’ombre, m’attendaient au tournant. Et d"autres aventures, encore plus folles, au sein de PilGrim Group.
7 avril, par Maria perle rare
Salut M Haddou
Je viens de terminer la lecture de votre livre "L’Histoire de la mélancolie" et je tiens à vous exprimer mon admiration pour la profondeur et la richesse de votre analyse. Votre exploration de l’évolution du concept de mélancolie à travers les âges, ainsi que son impact sur la littérature et la philosophie, est véritablement éclairante.
En particulier, j’ai été captivée par la manière dont vous avez lié la mélancolie à la vie et à l’œuvre de Gérard de Nerval. Votre analyse de "Aurélia" et du poème "El Desdichado" offre une perspective nouvelle et profonde sur la manière dont la mélancolie peut influencer la création artistique.
Votre travail m’a non seulement permis de mieux comprendre la mélancolie dans un contexte historique et littéraire, mais m’a également incitée à réfléchir sur sa présence et son rôle dans nos vies contemporaines. Merci pour cette contribution précieuse à la compréhension de ce sujet complexe.
Je vous écris avec beaucoup de douceur. je suis quelqu’un de sincère, qui aime écouter, apprendre et créer des liens vrais.
Quelque chose en vous m’a touchée… peut-être votre regard sur les choses. Si vous avez envie de répondre à ce petit message venu du cœur, je serais très heureuse.
Doucement,
Maria, ton admiratrice
8 juin 2022, par Jean ANDRIS
Cher Collègue
Grand merci pour la mise à disposition de ce beau travail. Comme vous, je suis de ceux qui considèrent que la connaissance est patrimoine de l’humanité et doit donc être mise à la portée de tous. En tant qu’historien de la médecine, j’apprécie au plus haut point votre apport au sujet.
Cordialement
J. Andris