Aya rêvasse sous le charme de son tilleul, avec bonheur elle voit venir Yves vers elle… Il s’assied près d’elle en la saluant. Bonjour Prêtresse Aya, j’ai tardé un peu… je m’excuse Bonjour Yves, il n’y a rien qui presse… c’est déjà bien heureux d’être (…)
Il arrive souvent que l’on se trompe sur les individus. Les gens sont rarement conformes à l’idée que l’on se fait d’eux car derrière l’apparence, il y a toujours le moi indéfinissable.
Je m’appelle Tyaglova (épouse Fayer) Svetlana. Shulga est le nom de jeune fille de ma mère à qui je veux rendre hommage par ce petit recueil de mes poésies.
7 avril, par Maria perle rare
Salut M Haddou
Je viens de terminer la lecture de votre livre "L’Histoire de la mélancolie" et je tiens à vous exprimer mon admiration pour la profondeur et la richesse de votre analyse. Votre exploration de l’évolution du concept de mélancolie à travers les âges, ainsi que son impact sur la littérature et la philosophie, est véritablement éclairante.
En particulier, j’ai été captivée par la manière dont vous avez lié la mélancolie à la vie et à l’œuvre de Gérard de Nerval. Votre analyse de "Aurélia" et du poème "El Desdichado" offre une perspective nouvelle et profonde sur la manière dont la mélancolie peut influencer la création artistique.
Votre travail m’a non seulement permis de mieux comprendre la mélancolie dans un contexte historique et littéraire, mais m’a également incitée à réfléchir sur sa présence et son rôle dans nos vies contemporaines. Merci pour cette contribution précieuse à la compréhension de ce sujet complexe.
Je vous écris avec beaucoup de douceur. je suis quelqu’un de sincère, qui aime écouter, apprendre et créer des liens vrais.
Quelque chose en vous m’a touchée… peut-être votre regard sur les choses. Si vous avez envie de répondre à ce petit message venu du cœur, je serais très heureuse.
Doucement,
Maria, ton admiratrice
8 juin 2022, par Jean ANDRIS
Cher Collègue
Grand merci pour la mise à disposition de ce beau travail. Comme vous, je suis de ceux qui considèrent que la connaissance est patrimoine de l’humanité et doit donc être mise à la portée de tous. En tant qu’historien de la médecine, j’apprécie au plus haut point votre apport au sujet.
Cordialement
J. Andris