La littérature est un art qui diverti ; Prends la plume, essaie, elle n’a pas menti, Elle apaise ceux qui sont introvertis ; Avec la littérature, la Solitude est présente, pourtant j’en fais aussi partie.
Oh ! Notre province de Beni, es-tu bénie ?
Ne vois-tu pas, comment tes fils et filles sont massacrés ?
Chaque jour, tu ne cesses d’enterrer tes aimés dans la neurasthénie,
Hélas ! Nous ne sommes pas des bœufs destinés à être consacrés.
Effusion de sang sur notre propre sol !
Pourquoi souffrons-nous sous notre enclos ?
Oh ! Nos enfants trouvent étrange cette affaire sans clause,
Nous avons compris chers tous, nous sommes tués à cause de notre sous-sol.
Nous avons marre de fuir ;
Nos détracteurs sont nos voisins ;
Ceux qui nous pillent, sont ceux avec lesquels nous avons mangé sans même les desservir,
En guise de remerciement, ils nous tuent et volent nos raisins.
Congo, notre cher et beau pays ;
Tu as des fils et filles qui pleurent constamment,
Ils manquent du pain quotidien, et cela, sempiternellement ;
Nos fronts sont cloués dans le poto-poto et nos fins des mois ne connaissent plus la paie.
Je me sens toujours poussé à remercier mes miens, ceux qui me soutiennent et me réconfortent malgré la situation dans laquelle nous vivons, du plus profond de mon cœur, je vous dis grand merci et resterai reconnaissant jusqu’au dernier (...)
2021
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