Où chaque plume trouve sa voie, et chaque lecteur son évasion.

Accueil > Classique > La Chasse à l’opossum

Classique

La Chasse à l’opossum

Oscar Wilde (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 25

Livre publié le 4 janvier 2013

Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

970 lecteurs ont feuilleté le livre

825 téléchargements au total.
1 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui

Evaluer le livre " La Chasse à l’opossum"

2 votes

Note globale pondérée

3/5 sur 2 votants

Thème :
Classique

La quatrième de couverture

La Chasse à l’opossum

Grande fut ma surprise, un matin en me réveillant, d’entendre les chevaux piaffer sous mes fenêtres ; j’allais m’enquérir de la cause de ces préparatifs inusités, quand ma porte s’ouvrit et livra passage à mon ami Robert, équipé pour la chasse.
– Allons, paresseux ! me dit-il en riant ; dépêchons, il est temps de partir.
– Partir ?… où allons-nous donc ?
– Faire une tournée de chasse dans l’ouest.
Cinq minutes plus tard, j’étais dans la cour. Deux bushmen tenaient en main quatre chevaux sellés : de rudes hommes, ces serviteurs de Robert ; des gaillards à figure rébarbative, ornée de longues barbes incultes, coiffés de vieux feutres déformés, vêtus d’une grosse chemise de laine rouge, de culottes de toile et de grandes bottes de cuir fauve. Pour compléter le costume, chacun d’eux portait à la ceinture un gros revolver, un couteau de chasse, et, en bandoulière, une lourde carabine.

La première page

en cours de rédaction
  

Biographie de Oscar Wilde

Oscar Wilde est né à Dublin en 1856 et meurt à Paris en 1900. Il est le fils de Sir William-Robert-Wills Wilde et de Jane-Francisca Elgen. Il commença ses études en Irlande et les termina brillamment au Magdalen College d’Oxford en 1878. Il publie des poèmes dans des journaux et revues et...

Du même auteur

Le Crime de Lord Arthur Savile

Le Crime de Lord Arthur Savile

C’était la dernière réception de lady Windermere, avant le printemps. Bentinck House était, plus que d’habitude, encombré d’une foule de visiteurs. Six membres du cabinet étaient venus directement après l’audience du speaker, avec tous leurs crachats et (…)

2012

Le portrait de Dorian Gray

Le portrait de Dorian Gray

L’atelier était plein de l’odeur puissante des roses, et quand une légère brise d’été souffla parmi les arbres du jardin, il vint par la porte ouverte, la senteur lourde des lilas et le parfum plus subtil des églantiers.

2013

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après
La Chasse à l’opossum

L'Iliade

L’Iliade

Chante, déesse, du Pèlèiade Akhilleus la colère désastreuse, qui de maux infinis accabla les Akhaiens, et précipita chez Aidès tant de fortes âmes de héros, livrés eux-mêmes en pâture aux chiens et à tous les oiseaux carnassiers. Et le dessein de Zeus (…)

Le Sergent Bucaille

Le Sergent Bucaille

Le conscrit Bucaille, jeune paysan, rejoint l’armée de Napoléon en 1812 et sous les ordres du sergent Rebattel fait route vers la Russie.

Le Songe d'une nuit d'été

Le Songe d’une nuit d’été

Belle Hippolyte, l’heure de notre hymen s’avance à grands pas : quatre jours fortunés amèneront une lune nouvelle ; mais que l’ancienne me semble lente à décroître ! Elle retarde l’objet de mes désirs, comme une marâtre, ou une douairière, qui puise (…)