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Accueil > Littérature > Le Bon-Cliché
Je me lance intégralement et paisiblement dans une aventure.
Photographier dans une autre dimension.
Ne pas vivre uniquement de photos.
Mon esprit vit de sa passion en traitant des images...
Il est bon de mettre à jour une description qui n’est pas autorisée de rester secret.
Des voiles nuageux et blancs descendent et recouvrent l’espace terre. Dans ma pensée tout s’enchaîne : le climat, l’ombre, la sueur, la réserve, l’ouïe, l’odorat.
— Enlève-moi mes oreilles, je n’entendrai rien de ce qui se passe dans le monde.
— Arrache-moi mes yeux et je ne verrai pas la beauté du déroulement de la création.
Mon corps tout entier tant qu’il continue à rester fonctionnel fait de moi une personne en chair et en os. Si on me l’ôte, il ne me reste que ma conscience.
Je me présente avec mes raisonnements, mes jugements, c’est pourquoi, j’invente des machines.
Je voyage par téléportation d’un point à un autre, grâce à mon cerveau voyageur.
Dans l’espace univers mon imagination est mon associé et la nature est le tableau que projette mon sentiment. Il distingue tout ce qui bouge, se déplace : les animaux, les voitures, les bateaux, les avions, les trains.
Dans un lieu, j’agis selon mes désirs en luttant contre les guerres.
Là où dure la famine, j’enraye les épidémies, toutes les maladies infectieuses qui s’étendent en altérant également la faune naturelle.
Je L’ai Fait Les Fautes Je déplace. . . Je joue . . . J’aime les lettres. . . Chantons l’alphabet. . .
2021
Cet ouvrage est une invitation au repas. Prenez place et goûtez aux différents mets que vous propose l’auteur. Venez, mettez-vous à table. Elle est ici colorée de savoureux plats débordants d’innombrables lumières de l’univers. Lumières de sagesse, de (...)
2020
"L’intensité de l’activité du souffle de l’esprit me fait déglutir intimement la genèse, pour une nouvelle renaissance." ...
2020
L’histoire de Rose, cette vieille dame qui se raconte, à travers les épreuves de sa vie. Celle de la perte de son mari qui était pompier, et qui est décédé en devoir. Celle de sa maladie qu’était si peu connue à l’époque des années 50, la bipolarité. (...)
Quel plaisir d’ouvrir ce livre qui devrait être remboursé à 100% par la Sécurité Sociale... L’art de Jean-Paul Marsal est de conter toutes les aventures avec ironie : la galéjade pointe quasiment à chaque mot.
Victor relevait ses pièges, son pistage l’emmena dès le lever du jour dans la forêt de Limon. Les châtaigniers tombaient l’un après l’autre sous les coups d’un ver de Chine qui se logeait dans leurs feuilles, s’y reproduisait à les en étouffer et ce sur (...)