Bonjour Yves, ta nuit a-t-elle été visitée par des "évolutions fantômes" ? Bonjour Prêtresse, non pas de fantômes, mais j’ai beaucoup cogité sur ces évolutions, je comprends bien que nous avons changé, mais dire que les humains ont une évolution à part ça (…)
Paris 18 H 40. Le Tgv venant de Toulon entre en Gare, de Lyon. Roger Benoist regardait par la vitre, il rêvait de liberté.
Si la vie porte le manteau de la survie et qu’une once de soleil ponce l’horizon pour y poindre, c’est parce qu’au fond de l’océan, lit nuptial de l’espoir, la dernière couche vivante de l’amour existe encore. Mais elle tend à faiblir.
29 janvier 2011, par samar
Un texte plein d’émotions. la description immortalise des moments forts dans la vie. Bien que c’est une dscription bien faite, elle semble par moment ennuyeuse. Cette forme d’amour est dépassée par le temps. Elle stagne futilement dans les musées des temps jadis. Vaut mieux parler de quelque chose de plus pratique, qui roule à la vitesse d’une Ferrari à l’image des évènements d’aujourd’hui.
Bonne continuation mais j te conseille de créer un peu de suspense dans tes textes
4 mai 2010, par Rémi
j’ai admiré la subtilité avec laquelle le vécu est transcrit en texte.
Toutefois, des évènements habituels dépourvus de suspense laissent le récit sombrer dans la pâleur. Le scénario n’est pas aussi intéressant. Il est assez répétitif et à chaque tentative d’entreprendre quelque chose, l’auteur se trouve coincé. Ce ne sont que des mémoires ordinaires d’une personne ordinaire. Le manque de dialogues et les descriptions longues rendent le texte un peu ennuyant.
grosso-modo, un bon travail épuré des fautes d’orthographe et de style.