Il parait qu’il y a encore un mois et demi j’étais un autre de ces élèves d’écoles d’élites. Il parait que j’étais même le meilleur d’entre eux. Il parait que j’avais décroché la bourse pour étudier à l’UCLA. Il parait que j’étais le seul.
– Bonjour Yves, je te vois effondré que se passe-t-il ? Bonjour Prêtresse, eh bien je suis abasourdi ! Tu m’as parlé de nos anciens qui croyaient que la terre était plate et voilà qu’à la "télé" on nous montre en conférence un groupe de personnes faisant (…)
Deux destinées animées d’un désir de vengeance, qui n’auraient jamais dû se croiser... et pourtant...
29 janvier 2011, par samar
Un texte plein d’émotions. la description immortalise des moments forts dans la vie. Bien que c’est une dscription bien faite, elle semble par moment ennuyeuse. Cette forme d’amour est dépassée par le temps. Elle stagne futilement dans les musées des temps jadis. Vaut mieux parler de quelque chose de plus pratique, qui roule à la vitesse d’une Ferrari à l’image des évènements d’aujourd’hui.
Bonne continuation mais j te conseille de créer un peu de suspense dans tes textes
4 mai 2010, par Rémi
j’ai admiré la subtilité avec laquelle le vécu est transcrit en texte.
Toutefois, des évènements habituels dépourvus de suspense laissent le récit sombrer dans la pâleur. Le scénario n’est pas aussi intéressant. Il est assez répétitif et à chaque tentative d’entreprendre quelque chose, l’auteur se trouve coincé. Ce ne sont que des mémoires ordinaires d’une personne ordinaire. Le manque de dialogues et les descriptions longues rendent le texte un peu ennuyant.
grosso-modo, un bon travail épuré des fautes d’orthographe et de style.