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Accueil > Littérature > Naissance d’un Royaume
Deux femmes, un homme, aux horizons incertains, se croisent en quête de pré carré. Leur rencontre est décisive. Voyageurs enthousiastes, passagers involontaires d’une épopée qui les dépasse, ils vont s’aimer, se déchirer, se recomposer. Leurs destins sont scellés. Face à la mort qui sépare, l’amour devient credo fédérateur. A Strasbourg, entre Paris et Moscou, nos marcheurs se confrontent au péril de leur vie. Sans raison apparente, une jeune femme est assassinée. L’ingénieur Georges Ostar est formellement accusé. Arpagie ne doute pas un instant de l’innocence de son mari, elle est son ange gardien, sa bonne étoile. Bientôt, les évènements se bousculent, des obstacles se dressent, augurant un mal pour un bien, une chance d’espérer. Pour Georges, à quelque chose malheur ne peut être bon. Alors que l’enquête piétine, l’intrigue se noue au coeur d’une tentative d’espionnage industriel. Acteur malgré lui d’une guerre inédite, mêlant soldats du passé et amants obscurs, Georges connaît l’amour indicible. Natacha le séduit, l’envoûte. Survient une crise migratoire d’une ampleur sans précédent qui balaie les frontières, change les codes. Devant les évènements, l’emblématique jeune femme, officier du renseignement russe, s’arroge les pleins pouvoirs. Georges choisit un autre destin, Arpagie meurtrie nourrit le fol espoir d’être heureuse à nouveau. Face au danger, Natacha martyr devient une légende où l’amour est plus fort que la mort. Loin du bonheur calme, dont ils se savent exclus, nos visiteurs trouvent le chemin dans la traversée des villes et des terres. Si le paradis est à jamais perdu, ils suggèrent, à l’aune d’un territoire infini, qu’il règne ici-bas un jardin, à portée de la main, où flotte encore le parfum des délices.
On compare souvent les grandes villes à des prostituées qui racolent visiteurs et touristes, offrent leurs ventres mous sur des étals de marchés. Chaque jour, leurs buttes enchanteresses sont montées, leurs cœurs sacrés profanés. Dans leurs entrailles, des artères ferrées déversent passagers et clients à des stations trop longues pour être honnêtes. Leurs bouches ébahies aux trottoirs maquillés exhibent leurs palais envahis de langues étrangères.
Les villes gourmandes sont des femmes rieuses qu’il faut conquérir et occuper. Leurs lignes de toits et de coupoles ressemblent à des seins charnus. Villes-femme réputées imprenables, construites de toutes pièces, accumulant richesses protectrices et nourricières, elles dominent le cœur des hommes. Habitants des villes sujets au désespoir, ils oublient la vertu du courage qui les anime, l’enthousiasme qui comble leurs consciences.
Un homme loue son appartement à deux personnes sans que l’un ou l’autre ne le sache, la cohabitation obligatoire le temps de retrouver le propriétaire s’annonce difficile. qui d’elle ou lui va garder ce bijou tant convoité ? quand l’amour s’en mêle (...)
Le roman « Catherine » sur la mer, sur l’amour, sur les relations entre l’homme et la femme. Lors d’un voyage touristique en Grèce, Catherine ne s’attendait pas à rencontrer son amour là-bas.
Écoutez, écoutez, le vent du désert nous parle mais on ne le comprend toujours pas. Peut-être raconte-t-il l’histoire d’Akhenaton et de la belle Tadoupika qui n’adoraient qu’un seul dieu : Aton.