Pas de petit-déj pour les louveteaux
Nombre de pages en A4 : 125
Livre publié le 3 décembre 2022
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Thème :
Policier et suspense
La quatrième de couverture
Au début, le fils d’Albert fut adopté par une gouvernante dans le quartier arabe.
Mais cela n’a pas duré, elle venait de décéder elle aussi déchiquetée par les loups, alors que l’enfant était retrouvé indemne jouant auprès d’elle avec des louveteaux.
Personne ne voulait de cet enfant. Heureusement qu’il y avait tante Gertrude qui a bien voulu adopter le fils de son ex-maître, elle déménagea dans la maison des Quaswars, là où personne n’osait s’approcher même après l’indépendance quand la majorité des Français sont partis. Quand elle mourut à son tour, il avait 10 ans. ses parents l’avaient baptisé Alain.
La première page
L’histoire que je vais raconter ne relève pas de la pure fantaisie, mais qui sait, il y a des moments où en plongeant dans l’imaginaire, on peut découvrir des réalités évidentes. Depuis 1974, neuf mystérieux crimes ont été commis par un individu que l’on ne peut qualifier ni de psychopathe ni de paranoïaque. C’est arrivé en Algérie, puis en France, retour en Algérie et ça continue encore. J’utiliserai la première personne du singulier et la troisième tout au long de mon récit et cela a commencé le jour où je me suis résolu à écrire, le 13 janvier. C’était un vendredi long et amer comme d’habitude, j’étais seul dans mon bureau. Hormis quelques petites modifications, rien n’avait changé à la gare ferroviaire, je venais d’avoir trente ans, c’était mon anniversaire. Le bureau datait de l’époque coloniale, mis en évidence par la pile de calendriers qui se sont accumulés pendant toutes ces années. On s’en servait comme plate-forme pour écrire. Combien de temps je les avais scrutés jusqu’aux plus anciens (1947), les anciens étaient en carton dur. Cette fois comme par hasard, je me suis arrêté en 1961, l’année ou je suis venu au monde. Dans les calendriers français, chaque jour représentait une fête religieuse.
Tiens-tiens ...vise-moi donc ça quelle surprise : 13JANVIER_baptême de Jésus Christ..un vendredi !! zut.....malédiction ..... superstitions ? Oui, hélas, pour l’acteur principal de cette histoire à la 3ème personne du singulier. Il est né le même jour que moi, dans la même ville.
Comme toute histoire qui se respecte, nous commencerons par le commencement. Il y avait foule ce jour de l’an mil neuf cent cinquante-sept avenue Max Marchand, il l’avait repérée de dos avec une queue de cheval et un chapeau de paille, elle allait vers la foule et il la suivit. Ce n’était pas un jour de défilé mais les gens s’alignaient pour regarder passer une jeep, suivie de deux ou trois camions. Un homme était attaché tête en bas sur le capot. Il saignait encore, un combattant du F.L.N sans doute (Front de libération national). Debout sur sa Jeep, le lieutenant Jibard tenait à ce qu’il soit salué par la foule.
« Le salaud, il a osé » avait dit Albert Quaswar le notaire de la ville.
« Il n’y a pas que lui qui oserait faire cela » lui a répondu Catherine, une jeune prof de français, elle se tenait juste devant lui. Albert l’a vu de près et ce fut le coup de foudre, elle était belle.
Biographie + bibliographie = que d’ail, a quoi bon… mais, Je vous jure par Thor and Toutatis que pas mal d’événements vécus dans cette histoire sont réels.
je ne peux pas publier dans mon pays, j’aborde beaucoup de sujets tabous