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Autobiographie - Témoignage - Autofiction

Ténacité, se relever après un AVC. Une histoire vécue

Yves Cormoran (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 62

Livre publié le 6 mai 2021

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Thème :
Autobiographie - Témoignage - Autofiction

La quatrième de couverture

Les hémiplégiques sont des gens de tous âges qui, à la suite d’un accident vasculaire cérébral (AVC), vivent avec une moitié du corps plus ou moins paralysée voire insensible. L’hémiplégique marche en boitant, s’équilibrant parfois à l’aide d’une canne tenue de sa seule main valide. Son autre bras pend le long du corps si la main inopérante n’est pas rangée dans une poche ou glissée dans l’ouverture de la veste.
A voir l’hémiplégique, l’on pourrait penser que sa triste situation est définitive et irréversible, mais non : j’ai vécu cette situation qui aurait pu me désespérer. Je livre ici le témoignage qu’il m’aurait fallu pour renforcer ma confiance.

La première page

Enfin j’ai réussi ! Ce jour de mai 2005, pour la première fois, j’ai réussi à me sortir de ce fauteuil roulant. J’ai réussi par moi-même, sans aide. Et même sans témoin : j’ai fait cela en profitant de l’heure de tranquillité qui précède la visite faite dans son service par le médecin, entouré de sa petite troupe de blouses blanches, chaque jeudi en fin de matinée. C’est pour ça que je me rappelle que c’était un jeudi.

Deux mois dans cet hôpital depuis mon accident. Environ deux mois, parce qu’il y a d’abord eu dix jours de coma que je n’ai pas vu passer. Le coma, du moins celui que j’ai connu, ce n’est pas une période d’inconscience totale. J’en ai quelques souvenirs. J’ai beaucoup entendu ce qui se passait autour de moi, j’ai un peu vu, et parfois j’ai parlé. J’ai quand-même su, plusieurs semaines après, que l’on avait alors pris soin de préparer psychologiquement ma compagne, avec ménagement, à « une issue fatale ». Personne n’a compris comment j’ai survécu mais moi je le sais, je vous dis comment.

  

Biographie de Yves Cormoran

Yves Cormoran est un pseudonyme. Je raconte une expérience personnelle. C’est sous anonymat que je le fais, afin de respecter la discrétion souhaitée par les personnes qui l’ont entouré dans cette aventure pénible mais édifiante.

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