La plateforme gratuite de diffusion littéraire

Accueil > Classique > Une page d’amour

Une page d’amour

Emile Zola (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 410

Version publiée le 4 novembre 2021 - (Premère publication sur Edition999 le 23 juillet 2015)

Les statistiques du livre

👩‍💻🧑‍💻
944 Lectures
7 Lectures/31 jours

🖱
5/5 sur 11 votants

👩🏻‍🏫🧑🏻‍🏫
1250 visites
👨‍👩‍👦‍👦
0 avis

Evaluer le livre


Thème : Classique

🖋️ La quatrième de couverture

La veilleuse, dans un cornet bleuâtre, brûlait sur la cheminée, derrière un livre, dont l’ombre noyait toute une moitié de la chambre. C’était une calme lueur qui coupait le guéridon et la chaise longue, baignait les gros plis des rideaux de velours, azurait la glace de l’armoire de palissandre, placée entre les deux fenêtres. L’harmonie bourgeoise de la pièce, ce bleu des tentures, des meubles et du tapis, prenait à cette heure nocturne une douceur vague de nuée. Et, en face des fenêtres, du côté de l’ombre, le lit, également tendu de velours, faisait une masse noire, éclairée seulement de la pâleur des draps. Hélène, les mains croisées, dans sa tranquille attitude de mère et de veuve, avait un léger souffle.

🗏 La première page

en cours de rédaction
  

⚠️ Signaler un problème avec l'ebook gratuit.

Biographie de Emile Zola

Emile-Edouard-Charles-Anthoine Zola naît à Paris le 2 avril 1840. Sa mère est française et son père, François Zola, vénitien et ingénieur meurt quand Émile n’a que 7 ans. Émile et sa mère se retrouvent alors dans une situation précaire. Il passe sa jeunesse à Aix-en-Provence, ville qu’il évoque...

📖 Autres(s) parution(s) de l'auteur

Le rêve

Le rêve

Pendant le rude hiver de 1860, l’Oise gela, de grandes neiges couvrirent les plaines de la basse Picardie ; et il en vint surtout une bourrasque du nord-est, qui ensevelit presque Beaumont, le jour de la Noël. La neige, s’étant mise à tomber dès le (...)

2019

La terre

La terre

Jean, ce matin-là, un semoir de toile bleue noué sur le ventre, en tenait la poche ouverte de la main gauche, et de la droite, tous les trois pas, il y prenait une poignée de blé, que d’un geste, à la volée, il jetait.

2019

La Bête humaine

La Bête humaine

En entrant dans la chambre, Roubaud posa sur la table le pain d’une livre, le pâté et la bouteille de vin blanc. Mais, le matin, avant de descendre à son poste, la mère Victoire avait dû couvrir le feu de son poêle, d’un tel poussier, que la chaleur (...)

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

 Dans le même rayon : Classique

La maison Tellier

La maison Tellier

On allait là, chaque soir, vers onze heures, comme au café, simplement. Ils s’y retrouvaient à six ou huit, toujours les mêmes, non pas des noceurs, mais des hommes honorables, des commerçants, des jeunes gens de la ville ; et l’on prenait sa chartreuse (...)

Le rêve

Le rêve

Pendant le rude hiver de 1860, l’Oise gela, de grandes neiges couvrirent les plaines de la basse Picardie ; et il en vint surtout une bourrasque du nord-est, qui ensevelit presque Beaumont, le jour de la Noël. La neige, s’étant mise à tomber dès le (...)

Le Dernier Jour d'un condamné

Le Dernier Jour d’un condamné

Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux sur lesquels on a trouvé, enregistrées une à une, les dernières pensées d’un misérable ;