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Accueil > Littérature > Vers l’air de l’espoir
Parfois on traverse des étapes compliquées mais le plus important est de savoir passer au dessus...
J’étais destiné à la vie comme à la mort, prêt à aimer comme à haïr. Tout ce que je faisais, je le faisais par habitude humaine ! Sauf que, et à mon contre gré, forcé à soutenir cette appartenance à la race. Parmi laquelle, je redoutais un seul ennemi, qui était mon propre moi-même Ce que je vois ne me rend pas heureux, mais je masque ma tristesse avec des sourires, car le sourire est contagieux et voir les gens sourires me permet d’oublier ce qui me rend triste…
Ce n’est pas parce que je sourit que ma vie est parfaite. C’est un signe de foi, d’espoir et de force. C’est un signe que oui, tout est éphémère et qu’un jour les choses iront mieux avec le temps.
Nous, nous ne cherchons pas ce qu’on peut voir, nous cherchons les choses qu’on ne voit pas. En effet, ce qu’on peut voir ne dure pas longtemps, mais les choses qu’on ne voit pas durent toujours.
On ne se rend pas toujours bien compte mais les pensées, les paroles et les actes ont tous des effets et des conséquences.
Marcher.. Marcher encore, parcourir des kilomètres, progresser, s’avancer, puis marcher encore une fois... S’arrêter devant l’océan, s’arrêter devant un coucher de soleil, un ciel étoilé, un paysage grandiose..
2018
Basée sur quelques faits réels, il s’agit d’une nouvelle sombre imaginaire et triste pour ceux qui ont envie de pleurer et de crier sur le monde.
C’est la version française du roman publié en langue arabe en 2002. Les événements du roman se déroulent dans un lycée à Alger au début des années soixante-dix. Les personnages sont des professeurs algériens, arabes et occidentaux.
Il s’agit de la suite -saison 2- du 1er tome : la famille Demasquay, paru début janvier 2020.