"Chiens de guerre" (originellement "Les chiens de guerre") a été écrit en 1991, puis révisé en 1999. Mon intérêt pour l’histoire militaire (bien que je sois pacifiste, mais je n’en suis pas à une contradiction près !) m’a inspiré cette nouvelle, ainsi que (…)
2011
J’ai autrefois beaucoup lu les romans de Léon Tolstoï et de Dostoievski, et j’en ai retenu l’atmosphère de la Russie tsariste du XIX° siècle. J’ai également songé à Jean Lorrain et sa nouvelle "Les trous du masque".
2015
J’ai toujours été fasciné par les romans de Ridder Haggard au XIX° siècle, "Les mines du roi Salomon" ou "She". C’est le seul de mes récits qui se déroule en Afrique, et je me suis inspiré des ruines du Grand Zimbabvé pour écrire un conte dans la veine (…)
2013
C’est un petit recueil énumérant certaines malédictions pesant sur une chanson, sur deux tableaux et sur des livres de magie et de sorcellerie qu’il vaut mieux s’abstenir de lire ou de posséder sous peine des pires désagréments.
C’est la découvertes des Cévennes a travers le récit imagé et inventif d’un grand père qui a beaucoup bougé sur les sentier de la basse Lozère et le nord-ouest du Gard. il a appris à parler aux animaux et aux elfes.
Quand ils ont trouvé Charlotte, elle était assise par terre avec un revolver posé à côté d’elle. Les mains sur le visage, Charlotte pleurait. La pièce où elle se trouvait avait été le décor d’une scène macabre. En face d’elle, ses parents gisaient dans une (…)
5 février 2006, par MR Renfield
Merci "Carotte", ça fait toujours plaisir, un compliment (même si on se la joue parfois en se disant "j’en ai rien à faire de ce que les autres pensent !")Désolé pour le retard de ma réponse, mon PC était en rade depuis deux mois...
"Retour aux sources" se base sur une thérapie réellement pratiquée : certains psy américains hypnotisent leurs patients en croyant réellement dans la réincarnation. Comme quoi la réalité dépasse souvent la fiction !
13 janvier 2006, par Carotte
Félicitations ! Ta nouvelle est très réussie ! L’histoire est originale et le suspens va crescendo jusqu’à la fin !
J’adore !