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Littérature

A qui la faute ?

Gisèle Piebop (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 75

Livre publié le 9 mars 2024

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Thème :
Littérature

La quatrième de couverture

Originaire du Cameroun, Gisèle Piebop tient fermement d’une main la craie, tandis que l’autre s’arme d’une plume pour donner un visage au mal-être généralisé qui empêche les peuples de se mouvoir et de se développer.
Des sous-quartiers malfamés du pays aux milieux bourgeois d’Afrique et d’Occident, en passant par des cercles peu recommandables et les teaversées périlleuses des deserts, des océans et des mers...le roman fait une peinture réaliste du quotidien de la grande majorité des peuples noirs, condamnés à végéter et à se sacrifier pour leur survie malgré les énormes resources dont regorgent leurs pays.

La première page

L’atmosphère était d’un calme olympien dans l’automobile de marque Hiace qui avait à son bord quelques passagers occupés pour la plupart à pianoter sur leur téléphone portable. C’était d’ailleurs la mode, car avec l’invasion des Hommes par ces gadgets de communication de plus en plus sophistiqués, il était devenu impossible pour qui pouvait s’en procurer de s’abstenir ; tellement leurs attraits étaient énormes. Hors mis le fait qu’ils contribuent à créer de nouveaux besoins, ils appauvrissent les usagers qui en deviennent dépendants en souscrivant à leurs exigences. En effet, un téléphone et surtout un qui soit androïde ne fonctionne pas avec de l’eau. Ah ça non ! Après avoir dépensé pour l’acheter, il faudrait également approvisionner sa batterie en énergie électrique pour pouvoir le mettre en marche et l’utiliser. En plus, la mise à profit de ses nombreuses capacités nécessite aussi des dépenses supplémentaires : pour appeler des personnes, il faut bien acheter et charger du crédit de communication dans cet objet. Sans compter que l’activité de surf qui est de loin, la plus prisée par les mordus de ces téléphones sophistiqués dits androïdes n’est possible qu’à la condition d’acheter une connexion internet aux opérateurs économiques agréés dans ce domaine. Et pour cela, tout est fait pour que la résolution du moindre des problèmes à l’instar de l’ouverture de divers types de fichiers, l’usage de réseaux sociaux, l’accès à certains sites ou documents… ne soit conditionné que par la connexion et le téléchargement, parfois encore sont payants des applications adaptées pour le traitement de ces types de services. L’accès aux informations, les ventes et les achats en ligne, les règlements des factures en ligne engendrent également des frais supplémentaires ; tout est payant. En un mot, les téléphones androïdes en cette époque semblent s’imposer en priorité à la majeure partie de la population, grâce à leurs nombreuses facilités révolutionnaires qui font gagner du temps lorsque l’on considère la rapidité avec laquelle les services sont expédiés. Ils font également économiser des efforts, étant donné la sédentarité à laquelle elle habitue ses usagers. Néanmoins, les coûts sont minimisés pour ses utilisateurs primaires qui en font juste un usage personnel et non commercial.

  

Biographie de Gisèle Piebop

L’auteure est praticienne de l’éducation et chercheure. Ses domaines de prédilections sont l’éducation, les langues, la (socio)linguistique, la littérature africaine, Les humanités numériques, etc. L’écriture et le bricolage demeurent ses principaux hobbies.

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