Il y a beaucoup de gens qui me parlent. Ce ne sont pas que des gens, ce sont des histoires comme des contes sur du papier jauni, comme une mélodie sur un vieux disque. Toujours je les entends et jamais je ne les oublie. Je les vois même les yeux clos je (…)
J’ai autrefois beaucoup lu les romans de Léon Tolstoï et de Dostoievski, et j’en ai retenu l’atmosphère de la Russie tsariste du XIX° siècle. J’ai également songé à Jean Lorrain et sa nouvelle "Les trous du masque".
C’est la découvertes des Cévennes a travers le récit imagé et inventif d’un grand père qui a beaucoup bougé sur les sentier de la basse Lozère et le nord-ouest du Gard. il a appris à parler aux animaux et aux elfes.