Arragoa Tome 1 : Prémices et soupçons
❤️ Coup de cœur des lecteurs
Nombre de pages en A4 : 167
Version publiée le 16 avril 2021
- (Première publication sur Edition999 le 31 octobre 2016)
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1
du code de la propriété intellectuelle (CPI).
Protection des oeuvres
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son
titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10)
La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros
d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la
décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Les statistiques du livre
2047 lecteurs ont feuilleté le livre
1092 téléchargements depuis la parution
3 téléchargements sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
Evaluer le livre "Arragoa Tome 1 : Prémices et soupçons"
Note globale pondérée
4.69/5 sur 13 votants
Thème :
Science Fiction - Anticipation
ISBN : 978-2-9553700-0-1
La quatrième de couverture
Au milieu du XXIIe siècle, des colons terriens exilés sur la ceinture de Kuiper, ont découvert des gisements précieux sur la dernière planète colonisée, Hauméa. Abandonné par le pouvoir central basé sur Terre, Zeian Smith fait appel à un mercenaire, Tiago Wilson, pour l’aider à protéger ses richesses. Il négocie également la venue de deux membres de l’ordre des Amazones, Haïp et Lys. Elles sont les garantes de la sécurité des planètes colonisées. Après une première attaque, ils tenteront de déjouer les plans de Viktor Pajarès, un bandit d’origine espagnole, sévissant sur Eris et aux ordres du puissant et mystérieux Horkos.
La première page
Depuis plusieurs jours, une canicule sévère s’était abattue sur la Californie, alors que le mois de mars venait seulement de débuter. Les habitants avaient l’habitude des pics de chaleur intense.
Une routine, une accoutumance ou une fatalité ! Ils ne savaient plus vraiment qu’en penser. Ils savaient juste que ce territoire était devenu aride, presque désertique, et qu’il avait fallu beaucoup d’efforts pour l’amener à renaître de ses cendres, après cet immense tremblement de terre qui avait réduit en ruines toute la baie de San Francisco. Les Californiens se levaient tôt car la chaleur suffocante de l’après-midi les forçait à se calfeutrer.
Seuls les robots de compagnie et d’entretien étaient insensibles aux ultraviolets nocifs que la couche d’ozone avait encore tant de mal à filtrer. Elle était en bonne voie de guérison, mais
la Police d’État Mondial, appelée, par tous, la PEM, veillait à ce qu’aucun humain ne s’exposât sans des protections. Leur prix était encore excessif, mais sentir sa peau brûler sous des rayons
solaires impitoyables était déjà, en soi, une dissuasion.
En ce début de soirée, le soleil avait réduit son agressivité et la vie pouvait enfin reprendre son cours, avec son lot de rires et de cris, reflets d’une bonne humeur collective.
Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ; Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon...