Où chaque plume trouve sa voie, et chaque lecteur son évasion.

Accueil > Histoire courte > De l’Ukraine à la France

Histoire courte

De l’Ukraine à la France

Catherine Descamps (Auteur)

Version publiée le 28 avril 2022


Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

307 lecteurs ont feuilleté le livre

Evaluer le livre "De l’Ukraine à la France"

1 vote

Note globale pondérée

4.98/5 sur 1 votant

Tu t’appelais Joseph Félix tu es né en France en 1888 c’est ce que je croyais jusqu’au jour ou j’ai appris qu’en réalité tu es né à Lviv empire Autrichien tu étais le fils de Cham et Serafina Félix, sois disant que ton papa est mort avant ta naissance et ta maman étant déjà bien malade avant de faire un long voyage et t’abandonner à Paris. Je ne sais pas combien de pays Serafina traversa avec le petit Joseph avant de l’abandonné à Paris la capitale de la France. Par contre je ne sais pas ce qu’elle a dit est vrai ou non puis je ne peux pas retourner en 1888 pour voir ce qui s’est passé en ce temps là et je crois que dans toutes les familles il y a des secrets qu’on ne sera malheureusement jamais la vérité. Je ne sais même pas si le nom de mon arrière grand-père n’a pas été Francisé comme son prénom de naissance josef est devenu Joseph comme je le dis je ne peux pas revenir en arrière.Il fût accueillit dans une famille de Lestrem ou en 1911 il raconta mon arrière grand-mère Joséphine ils se marièrent en juin 1912, Le 15 décembre 1912 naissait leur fils Charles Auguste mais leur bonnheur sera de courte durée car Charles Auguste mourût à l’âge de quatre mois. Le 20 février 1914 leur fille Léonie naissa mais encore une fois le destin frappera Joseph car cinq mois après la naissance de sa fille, comme des millions d’innocents dans le monde il partit à la guerre qui deviendra la première guerre mondiale ou il mourût Pour la France le 10 janvier 1915 à la ferme de Beauséjour dans la Marne on ne retrouvera jamais son corps il n’avait que 27 ans et 10 mois. Ma grande tante qui a connu le père de ma grand-mère disait qu’il était arrivé en France quelques jours ou quelques semaines àprès sa naissance à Paris et qu’ils auraient créé un nouveau acte de naissance à Paris j’ai vérifié ces dire et c’était vrai et sur son acte d’abandon est né à Lviv.Ce qui est sûr c’est que sa famille est né à Lviv.Sa fille Léonie avait onze mois à la mort de son papa et elle fût placée dans la famille d’accueil de sa mère ou elle compta pour du beurre et sa vie ne fut pas facile non plus.En 1920 Joseph fût seulement déclaré mort pour la France. En 1921 Joséphine se remaria et laissa battre sa fille par son mari et sa mère s’en fouta carrément d’elle elle pensa qu’à sa deuxième famille quand sa fille Léonie eut 14 ans son beau-père brûla les papiers militaires de son papa Joseph par jalousie car elle parlait toujours de lui.En 1932 ma grand-mère Léonie se maria avec mon grand-père Marcel.En 1933 le grand frère de ma mère naissait et en même temps on parlait déjà en Allemagne de Adolf Hitler et on parla des accords de Munich de 1938 ma grand-mère en parla avec mon grand père pour sa peur de la seconde guerre mondiale qui se rapprochait pour elle à grands pas. En juin 1940 les allemands arrivèrent en France. Le 26 août 1941 ma mère naissait pendant ce terrible conflit que pouvait-elle savoir de tout çà quand elle soulevait le rideau et que les allemands voulait tirer sur elle c’était en 1943 elle se rappelle encore des sabots qu’elle attendait sur les pavés et elle en parle encore aujourd’hui.Ma mère se souvient aussi de la libération ou elle mangea du chocolat donné par les soldats anglais ou américains elle disait veut encore car elle n’en avait assez de manger des patacons de pommes de terre brûler sur le feu et qu’elle piquait aussi à son grand-frère alors que ses parents ne mangeais pas à leur faim. En 1945 naissait la soeur de ma mère suivi en 1946 de la naissance de son frère en 1949 d’un autre frère en 1951 naissa une soeur et en 1954 est née la petite dernière. Même si leurs vies n’étaient pas facile ma grand-mère parla de son père Joseph. En 1960 un nouveau drâme mon grand-père meurt dans un accident de travail et laissa ma grand-mère veuve avec six enfants dont la dernière n’avait que cinq ans et demie. Ma mère se maria avec mon père en 1961.J’ai une soeur et un frère mais je ne parleraient pas d’eux car c’est leur vie privée.Vers l’âge de six mois je suis tombée malade je m’assayais toujours pas, mes parents ont parlé avec mon médecin généraliste mais ils n’a rien trouvé puis comme j’avais bon appétit les médecins ont dit que c’était à cause de ma naisssance car ma mère accoucha seule à l’hôpital mais maintenant on sait que tout çà est carrément faux puis quand j’ai eu un an je marché à quatre pattes comme mon Dick qui fût pendant treize ans mon confident des jours tristes et heureux, car Dick m’écoutais mais ne répètais rien à personne.Je marchais vers mes 26 mois, six mois plus tard j’entrais à l’école maternelle où je tombais souvent et sans aucune raison et le médecin scolaire découvrit que mon ventre n’étais pas musclé mais c’était toujours à cause de ma naissance il fallait attendre un peu plus que les autres enfants pour ne pas inquiéter mes parents pour rien. Je passais dans la section des moyens mon institutrice était très gentille elle me donna la passion pour la musique car je jouais du tambourin mais dans mon quartier on me traitait de tous les noms même si ce n’étais pas facile pour moi mais j’ai toujours vécue entre deux mondes et c’est là que j’étais encore la plus heureuse et je vis encore dans ce monde car je me considère pas comme normale mais pas non plus comme malade car je ne vivrai plus. Je me souviens en classe on regardait Sylvain et Sylvette et que j’adorait çà comme je regardais l’iles aux enfants à la télévision où je chantais à l’école maternelle .Je me souviens aussi que je ne suis restée chez les moyens au lieu d’aller dans la section des grands et l’institutrice était une vrai peau de vache elle donnait mon cahier avec ceux d’autres élèves plus jeune que moi alors que cela n’intéressait pas le médecin qui me soignait tout çà à cause de mes dessin je dessinait à l’envers je mettais le soleil en bas de ma feuille et les fleurs en haut de ma feuille mais ce qu’elle ne savait pas c’est que je savais lire depuis déjà un petit moment. En juillet 1979 je découvrit pour la première fois la Méditerranée et en septembre 1979 je rentrais en cours préparatoire (c.p) quand elle s’aperçu que je savais déjà lire elle attrapa la directrice de l’école maternelle mais je fus souvent interdit de récréation car elle s’occupait de moi et me faisait refaire les exercices que je n’arrivais pas à faire je me souviens encore d’elle aujourd’hui. Je passais en ce1 j’avais un instituteur pour les mathématiques mais avant de commencer c’est cours nous chantons tous des chansons enfantines et l’après midi nous avons une institutrice pour le français cette année là les ies enseignants nous donna pas de bon point mais de fausse pièce qu’on échangea contre des bonbons toutes les deux semaines quand c’était notre institutrice car un samedi sur deux c’était les mathématiques et l’autre semaine c’était le français j’adorais mes deux enseignants qui s’occupèrent très bien de moi. Je passais en c.e 2 mais lors d’un contrôle auditif chez l’orthophoniste on découvrit que j’étais sourde mais que personne s’en est aperçue on se demande toujours si j’étais sourde à ma naissance mais je ne crois pas car comment j’aurai fait pour apprendre à parler ou lire car je parlais beaucoup mais je me suis fait opéré des deux oreilles mais c’était quand même un début de surdité pour moi. Un an plus tard je passais en cm1 je commençais à mal travailler en classe car ça devenait de plus en plus dur pour moi et je fus brûler par l’autocuiseur qui tomba sur moi mais le pire était encore à venir mais que faire contre l’injustice de certain humains qui ne pense qu’à eux. Je passais en CM2 où j’ai eu deux institutrices heureusement pour moi car mon institutrice qui enseignait les mathématique était très gentille avec moi mais ce n’était pas le cas avec la directrice qui m’enseignait le français m’insultait mon institutrice donna les classements par les derniers de la classe alors que j’étais la dernière en disant que j’étais la honte, que j’étais aussi une menteuse alors que j’étais une enfant pas comme les autres et j’en souffre encore aujourd’hui de ce qui s’est passé en ce temps-là. Cette année-là, je fus souvent malade mais j’ai su rouler à vélo..
En septembre 1985 je redoublais mon CM2 dans un nouvel établissement je ne travaillais pas mieux mais je n’étais plus malade et je reprenais le goût d’apprendre à nouveau cette année-là, j’oubliais un peu mon passé difficile où je ne voulais plus aller en classe
pour me faire rabaisser. Je passais en 6ème à cause de mon âge. En 1986 . Ma tata mourût à 48 ans et 11 mois deux jours plus tard ma grand-mère mourût devant mes yeux cet évènement me traumatisa pour toujours . Le lendemain de ma communion disparaissait mon chien Dick mon complice de toujours il venait d’avoir 13 ans. Je changeais d’établissement scolaire et de région ou j’ai connu l’harcèlement scolaire où j’ai été battue par d’autre élèves aussi bien au collège et dans l’autobus mais j’ai aussi appris à me débrouiller toute seule où j’ai appris à cuisiner et je continue toujours à le faire et je rappelle de ma professeur de français histoire géographie cuisine et couture car elle enseignait plusieurs matière elle me faisait porter des choses plus lourd que moi et me faisait travailler à la cantine pendant ce temps là on se prenait plus à moi. Si l’année 1987 a été terrible pour moi le seul grand-père que j’ai connu meurt un an après sa fille et son épouse mon autre grand-père mourût douze ans et demi avant ma naissance en juillet 1987 je deviens fane du tour de France cycliste j’appris par ma grand-mère que mon grand-père était fan de cyclisme et ma mère me parla de Fausto Coppi l’idole de mon grand-père et aussi de l’histoire du 20ème siècle. En septembre 1987 je rentrais au lycée et pour moi ça recommençait encore une fois mais cette fois-ci les professeurs et le proviseur étaient de mon côté, trois semaines plus tard c’était terminé sauf que j’ai gardé mon surnom de gogole mais je m’en fichais
carrément car je travaillais mieux que le reste de la classe car moi au lieu de m’amuser, j’étais de plus en plus dans mes livres ou j’écrivais des poèmes et des histoires même si tout le monde ne croyait pas à mon histoire car en ce temps-là c’était encore tabou en
France. L’année 1987-1988 fût à peu près normal mais je souffrais de nombreuses luxations du genou et je me faisais traiter de gogole mais je travaillais toujours aussi bien. En septembre 1989 j’entrais en Bep sanitaire et sociale où je fus tellement heureuse et épanouie je devins cette année là déléguée de classe même si je travaillais moins bien et que je souffrais toujours de luxations des genoux., les deux plus belles années de ma vie où je passais mon temps à rire et à dire des bêtises pour épater la galerie mais je restais calme dans la classe, je fus déléguée de classe un rôle que j’ai tant aimé jouer car j’étais leur mascotte même si le 5 juillet 1991 fut un grand jour pour moi car j’ai eu mon BEP sanitaire et social, c’était une fierté pour moi et une revanche sur un passé quand tout le monde m’insultait.
J’ai dû arrêter mes études car ça devenait trop difficile pour moi. C’était dur de quitter mon lycée du bonheur et ma vie changea du jour au lendemain, j’allai partir dans mes années de doute car j’ai appris que je ne pourrais jamais travailler de ma vie à cause de mes maladies inconnues. À fur et à mesure que je perdais la mémoire, je me retrouvais pratiquement en chaise roulante mais je l’ai toujours refusé pour une bonne raison : je rêvais de continuer à voyager, c’est ce que j’ai fait en 2010 je partais pour la Bulgarie, en 2011 et 2012 pour la Crète et en Andalousie en 2014 mais ce fût mon dernier voyage.
Entre-temps j’apprenais qu’en réalité que je souffrais de deux maladies car en plus de la dystonie l. dopa sensible généralisée et de la maladie de Parkinson. Ces deux maladies très très rares sont d’origine étrangère (la famille de ma mère est originaire des pays de l’Est, l’Ukraine actuellement) elles ont été découvertes lors de prises de sang faites sur moi et ma mère, par la suite je devins sourde d’une oreille. Je suis souvent hospitalisée à l’hôpital de Lille pour que la recherche travaille sur mon cas car en réalité on ne sait toujours pas si mes maladies héréditaires viennent d’une ou de deux personnes.
Alors au lieu de me critiquer pour un oui ou pour un non, réfléchissez. Je ne suis ni une mythomane ni une manipulatrice, je ne suis pas folle comme on le dit sur certain site, alors que je suis une personne au grand cœur et une sacrée battante qui doit faire le deuil de son père. Je veux dédier mon histoire à tous ceux et celles qui doivent se battre dans leur vie.

Biographie de Catherine Descamps

Bonjour j’adore écrire des histoires et des poèmes

 Autres(s) parution(s) de l'auteur

Entre plusieurs générations

L’histoire se déroule en Allemagne et en Alsace pendant la seconde guerre mondiale et sur plusieurs générations.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

 Dans le même rayon : Histoire courte

Entre plusieurs générations

L’histoire se déroule en Allemagne et en Alsace pendant la seconde guerre mondiale et sur plusieurs générations.

Sur la terrasse du monde

Extrait de la nouvelle "Quiou" à paraître dans quelques jours.