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Accueil > Fantastique > Délire ou le récit d’une femme éperdue
C’est une nouvelle qui se présente en deux récits. Les personnages sont deux femmes qui se rencontrent dans un train. Elles parlent de leur expérience amoureuse respective, douloureuse... L’une confie à l’autre son histoire, intacte, qu’elle publiera.
J’introduis ici un préambule au récit qui va suivre afin de vous éclairer, vous, Lecteur, au sujet de ces choses qui sortent de l’imaginaire lorsque la raison a défailli.
Il y quelques années, j’étais assise dans un train qui me ramenait chez moi puisque je voyageais en direction du Sud de la France J’étais alors en proie à une profonde tristesse, les larmes mouillant mes yeux par moments, et, s’écoulant sur mes joues jusqu’à glisser sur la peau délicate de mon cou que j’essuyais d’un geste machinal.
J’avais à peine conscience du monde qui m’entourait, dans l’état de peine et de morosité que mes voisins de voyage pouvaient constater sans effort, tant aucune pudeur n’arrivait à dissimuler les symptômes apparents de mon chagrin. Ainsi, n’avais-je pas prêté attention à cette femme qui me dévisageait depuis que nous avions pris nos places respectives, l’une en face de l’autre, et, que le train avait démarré, après le retentissement du sifflet du chef de gare annonçant la fermeture des portes.
Au collège, Gédéon Creil fait la connaissance de Geoffroy Barillé, un adolescent fragile et timoré de treize ans. Tous deux partagent le même engouement pour les univers fantastiques et deviennent inséparables.
Un soir, une bande de jeunes en quête d’émotions décide une virée au cimetière. Mais l’endroit n’est pas aussi reposant qu’il n’y paraît...
Au bout de la piste, le Boeing 747 s’apprêtait à décoller. Debout derrière le grillage qui délimitait le pourtour de l’aéroport, il frotta ses mains gelées l’une contre l’autre afin de les réchauffer. En ce début de matinée, le temps était plutôt gris (...)
24 avril 2017, par Jean Christophe Bernardon
Bonjour
Félicitation à Joyce Attal qui a sue retranscrire à la perfection le douloureux chemin de l’amour qui envahit le cœur et l’esprit lorsque, comme un fantôme, il n’est vécu que par une seule personne.
Toutes les personnes de votre entourage pourront vous dire de changer, de trouver une autre personne, d’oublier cette personne que vous avez tant aimée et que vous aimez toujours mais rien n’y fait, cet amour est toujours présent tel le fantôme qui ne vous autorise pas de vivre autre chose par fidélité.
Je soupçonne dans ce texte, tout de même, un léger vécu pour Joyce Attal. Si tel est le cas, nous avons d’autant plus de mal à nous débarrasser de cette amour qui nous fait vivre et perdurer notre fidélité.
Bravo
Jean Christophe
16 mai 2016, par Joyce
Si on accepte qu’il eciste plusieurs états qui de superposent, suivant le principe de physique quantique, on peut dire qu’ y aurait plusieurs états de conscience, et que chaque état évolue et communique dans un espace temps qui lui est propre, si on considère qu’il n’y a pas déterminisme, alors on comprendra que l’être suprasensible du personnage rejoigne, dans un univers qui n’est pas physique, l’être suprasensible de l’autre, celui qu’elle aime. La mort provoquant une modification des états, il y a rupture.
À lire.
13 avril 2016, par Joyce ATTAL
" J’ai aimé jusqu’ à atteindre la folie. Ce que certains appellent la folie.
, mais ce qui est pour moi la seule façon d’aimer ".
De Françoise SAGAN