Georges Greatman était un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire, un père de famille et un mari comblé. Il était sans aucun doute le meilleur publicitaire de sa boîte et sa femme, Jennyfer, était devenue un grand peintre talentueux. Rien ne semblait (…)
Dans cette maison où Héloïse vit avec ses parents, quelques unes des pierres, dans les murs, deviennent incandescentes telles des braises ardentes ; le maléfice semble se poursuivre à l’extérieur, le long des trottoirs, sur d’autres murs, sur d’autres (…)
Je restais allongé sur le lit, contemplant le plafond, d’un air macabre. J’avais l’impression que deux petits yeux me fixaient distinctement et sans relâche, qu’ils me persécutaient. J’avais l’impression que mon crâne se creusait, que quelque chose me (…)
24 avril 2017, par Jean Christophe Bernardon
Bonjour
Félicitation à Joyce Attal qui a sue retranscrire à la perfection le douloureux chemin de l’amour qui envahit le cœur et l’esprit lorsque, comme un fantôme, il n’est vécu que par une seule personne.
Toutes les personnes de votre entourage pourront vous dire de changer, de trouver une autre personne, d’oublier cette personne que vous avez tant aimée et que vous aimez toujours mais rien n’y fait, cet amour est toujours présent tel le fantôme qui ne vous autorise pas de vivre autre chose par fidélité.
Je soupçonne dans ce texte, tout de même, un léger vécu pour Joyce Attal. Si tel est le cas, nous avons d’autant plus de mal à nous débarrasser de cette amour qui nous fait vivre et perdurer notre fidélité.
Bravo
Jean Christophe
16 mai 2016, par Joyce
Si on accepte qu’il eciste plusieurs états qui de superposent, suivant le principe de physique quantique, on peut dire qu’ y aurait plusieurs états de conscience, et que chaque état évolue et communique dans un espace temps qui lui est propre, si on considère qu’il n’y a pas déterminisme, alors on comprendra que l’être suprasensible du personnage rejoigne, dans un univers qui n’est pas physique, l’être suprasensible de l’autre, celui qu’elle aime. La mort provoquant une modification des états, il y a rupture.
À lire.
13 avril 2016, par Joyce ATTAL
" J’ai aimé jusqu’ à atteindre la folie. Ce que certains appellent la folie.
, mais ce qui est pour moi la seule façon d’aimer ".
De Françoise SAGAN