Accueil > Fantastique > Gentille petite Charlotte
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Quand ils ont trouvé Charlotte, elle était assise par terre avec un revolver posé à côté d’elle. Les mains sur le visage, Charlotte pleurait. La pièce où elle se trouvait avait été le décor d’une scène macabre. En face d’elle, ses parents gisaient dans une marre de sang avec les yeux grands ouverts exprimant la surprise. Non loin d’eux, se trouvait les corps sans vie de deux autres personnes. Les pleures de Charlotte n’avaient rien à voir avec des pleures de chagrin. C’était plutôt des pleures de délivrance.
Son petit frère était dans l’encadrement de la porte qui mène à la cuisine. Il regardait les corps inanimés qu’il avait sous les yeux sans vraiment comprendre ce qui venait de se produire.
C’était Mme Muller...
Cette histoire, n’est sans doute pas une histoire quelconque. J’aimerais vous dire que c’est l’histoire d’un gentil petit chien ou encore qu’elle commence par : il était une fois. Mais cela serait vous mentir. Non, en fait, cette histoire est l’histoire d’un (...)
2007
Un homme était assis au comptoir d’un bar du centre ville. Du haut de sa chaise, il fixait son verre vide d’un regard absent et faisait tourner son index à l’intérieur de celui-ci. Pendant un bref moment il s’était assoupi. Son verre se brisa par terre et se (...)
2006
Je la voie toujours au même endroit, assis sur un banc, les mains entre les jambes. C’est une belle jeune femme. Elle porte toujours cette magnifique robe et ce petit gilet si attirant.
2006
Il est absurde de ne pas croire à la vie dans l’univers. Oubliez tous ce que l’on veut vous faire croire. Les extraterrestres existent. Si certain pense que nous sommes les seul être vivant dans toute la galaxie, il se trompe. Nous ne sommes pas (...)
Ça allait faire quatre années que j’habitais ici et je n’avais jamais osé mettre les pieds dans la maison de l’autre côté de la rue, la maison juste en face de la mienne. Pourtant, vous l’auriez vu cette baraque, elle avait tout du foyer idéal. Un jardin aux mille (...)
C’est l’hiver, ici c’est toujours l’hiver... Misérable, lent et dangereux, comme tous les hivers. Des nuages, gris ou noirs qui s’affolent la haut juste avant la nuit et les angoisses qu‘elle fait renaître. Un ciel noir qui s’écrase sur la ville comme pour (...)
Dans cette maison où Héloïse vit avec ses parents, quelques unes des pierres, dans les murs, deviennent incandescentes telles des braises ardentes ; le maléfice semble se poursuivre à l’extérieur, le long des trottoirs, sur d’autres murs, sur d’autres maisons... (...)
Marc Merray, fonctionnaire sans histoire, était loin d’imaginer que son emménagement dans leur nouveau domicile, situé au cœur d’un quartier paisible d’Angers, au numéro 26 de la rue des Feux Follets, puisse à ce point les affecter, sa compagne Élise, leur fille (...)
5 janvier 2007, par suria
parfait,une montée d’émotion géniale,très bouleversant,sublime..à part la fin,bizzard celle ci...une allusion ?une chute ouverte ? vraiment, je ne vois pas...
15 décembre 2005
Excelent ! Par contre la fin est pas super ... une allusion ? un clin d’oeuil ?