Libérez vos mots, lisez sans limite ! Publiez et découvrez gratuitement

Accueil > Classique > L’Appel de la forêt

L'Appel de la forêt

L’Appel de la forêt

Jack London (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 106

Version publiée le 17 avril 2018

Les statistiques du livre

2726 lecteurs ont feuilleté le livre

1302 lecteurs ont inclus ce livre dans leur bibliothèque.

Note Moyenne : 4.71/5 sur 28 votants

Evaluer le livre


Thème : Classique

La quatrième de couverture

Buck ne lisait pas les journaux et était loin de savoir ce qui se tramait vers la fin de 1897, non seulement contre lui, mais contre tous ses congénères. En effet, dans toute la région qui s’étend du détroit de Puget à la baie de San Diégo on traquait les grands chiens à longs poils, aussi habiles à se tirer d’affaire dans l’eau que sur la tere ferme…

La première page

Les hommes, en creusant la terre obscure, y avaient trouvé un métal jaune, enfoncé dans le sol glacé des régions arctiques, et les compagnies de transport ayant répandu la nouvelle à grand renfort de réclame, les gens se ruaient en foule vers le nord. Et il leur fallait des chiens, de ces grands chiens robustes aux muscles forts pour travailler, et à l’épaisse fourrure pour se protéger contre le froid.
Buck habitait cette belle demeure, située dans la vallée ensoleillée de Santa-Clara, qu’on appelle « le Domaine du juge Miller ».
De la route, on distingue à peine l’habitation à demi cachée par les grands arbres, qui laissent entrevoir la large et fraîche véranda, régnant sur les quatre faces de la maison. Des allées soigneusement sablées mènent au perron, sous l’ombre tremblante des hauts peupliers, parmi les vertes pelouses. Un jardin immense et fleuri entoure la villa, puis ce sont les communs imposants, écuries spacieuses, où s’agitent une douzaine de grooms et de valets bavards, cottages couverts de plantes grimpantes, pour les jardiniers et leurs aides ; enfin l’interminable rangée des serres, treilles et espaliers, suivis de vergers plantureux, de gras pâturages, de champs fertiles et de ruisseaux jaseurs.

  

Biographie de Jack London

Jack London a eu une vie très courte. Il est né en 1876 à San Francisco et il est mort à l’âge de quarante ans dans son ranch de la vallée de la Lune, dans le vignoble californien. Fils d’une spirite et d’un astrologue, il a passé sa jeunesse autour de la baie de San Francisco, gagnant sa vie ne...

Autres(s) parution(s) de l'auteur

Martin Eden

Martin Eden

Arthur ouvrit la porte avec son passe-partout et entra, suivi d’un jeune homme qui se découvrit d’un geste gauche. Il portait de grossiers vêtements de marin qui détonnaient singulièrement dans ce hall grandiose.

Les Vagabonds du rail

Les Vagabonds du rail

Quelque part dans l’État de Nevada, il existe une femme à qui j’ai menti sans vergogne pendant deux heures d’affilée. Je ne cherche point ici à faire mes excuses, loin de là ! Je désire seulement m’expliquer. Hélas, je ne connais pas son nom, encore (...)

Le Cabaret de la dernière chance

Le Cabaret de la dernière chance

Toute cette histoire remonte à un jour d’élections. Par un brûlant après-midi californien, j’étais descendu à cheval dans la Vallée de la Lune, de mon ranch au petit village, pour voter toute une série de réformes qu’on voulait apporter à la constitution (...)

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Dans le même rayon : Classique

Mémoires d'un cambrioleur retiré des affaire

Mémoires d’un cambrioleur retiré des affaires

Où le lecteur peut être assuré que ce qu’il va lire n’a pas été imaginé à plaisir.

Le Monde perdu

Le Monde perdu

M. Hungerton, son père, n’avait pas de rival sur la terre pour le manque de tact. Imaginez un cacatoès duveteux, plumeux, malpropre, aimable certes, mais qui aurait centré le monde sur sa sotte personne.

Pot-Bouille

Pot-Bouille

Rue Neuve-Saint-Augustin, un embarras de voitures arrêta le fiacre chargé de trois malles, qui amenait Octave de la gare de Lyon. Le jeune homme baissa la glace d’une portière, malgré le froid déjà vif de cette sombre après-midi de novembre.