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Depuis 2013, de nombreuses contestations et protestations issues de la classe politique et de la société civile réclament le départ de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA). Cela se justifie par son approche jugée trop pacifique face à la question du terrorisme au Mali.
Au regard de cette tension sociale, une recherche de plusieurs mois a été menée sur les activités de la MINUSMA afin de démonter qu’en dépit de l’absence de mandat explicite de lutte antiterroriste, la MINUSMA a un très grand apport contributif à la lutte contre ce phénomène au Mali.
La recherche a démontré que le mandat de stabilisation de la MINUSMA, à travers son volet « renforcement de la capacité de l’État », en plus de ceux de l’ « appui aux droits humains » et à la « stabilisation économique », et bien d’autres, aident énormément à prévenir et à lutter contre les facteurs du terrorisme au Mali.
Le plus intéressant est qu’il ait tout de même été établi que la MINUSMA est quasiment la première force de maintien de la paix de l’ONU à coopérer avec des forces armées de lutte antiterroristes, d’où son énorme concours à la lutte armée contre le phénomène au Mali.
Après l’intervention française (opération Serval) de 2012 pour repousser les groupes séparato-terroristes au Mali. L’ONU a déployé la MINUSMA au Mali, une mission pacifique d’observation et de consolidation de la paix à la demande des autorités nationales. Cette mission vient donc remplacer la MISMA, une force internationale mandatée pour lutter militairement contre les groupes séparato-terroriste sur le sol malien. Malgré la forte présence et menace terroriste qui demeurent sur le terrain, la MINUSMA n’est pas dotée de mandat pour lutter contre le terrorisme, contrairement à la MISMA. Depuis son implantation en 2013 de nombreuses contestations de la société civile ont réclamé le départ de cette nouvelle mission jugée inefficace compte tenu du contexte malien et de son mandat non offensif. C’est partant de cette tension que ce travail de recherche est effectué afin de démontrer que malgré l’absence d’un mandat explicite pour lutter contre le terrorisme, la MINUSMA apporte une forte contribution non seulement à la lutte contre les facteurs du terrorisme tels la pauvreté, la mauvaise gouvernance, l’injustice, l’exclusion socio-politique à travers ses activités de consolidation de la paix mais aussi à la lutte armée contre le terrorisme en appuyant matériellement, techniquement et opérationnellement les forces armées nationales et internationales mandatées pour lutter contre le terrorisme au Mali.
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