Le refuge
Nombre de pages en A4 : 87
Version publiée le 7 juillet 2024
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Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10)
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Thème :
Fantastique
ISBN : 978-2-9567149-2-7
La quatrième de couverture
Dans un futur proche, Marc, un ingénieur en technologie maritime, travaille sur des prototypes avancés pour améliorer la sécurité en mer. Lors d’une plongée de test, son bateau est attaqué par des pirates. Son ami et collaborateur, Julien, est tué, et Marc est sauvé par le fait qu’il était dans le prototype de plongée, Marc découvre sur une île une civilisation avancée. Il décide cette entité à se dédier à la lutte contre la piraterie. Ensemble, ils développent des technologies de pointe pour traquer et neutraliser les pirates, tout en cherchant à démanteler un réseau criminel international. Mais la route vers la justice est parsemée d’embûches, et Marc devra faire face à des défis inattendus pour venger son ami et rendre les océans plus sûrs.
La première page
Marc, comme tous les jours, sorti sa voiture du garage, pour prendre la direction du bureau. Le temps était légèrement couvert, un peu triste, les nuages bas n’annonçaient pas une magnifique journée. Chemin faisant, il repensait à son passé après des études banales, un diplôme d’ingénieur en informatique et électronique, précédée d’une capacité en droit, il avait fini par s’associer avec son ami d’enfance, pour créer une société d’ingénierie. Par ce biais-là, il cherchait une autonomie financière, mais aussi une tranquillité d’esprit. Il n’avait pas du tout envisager, un tel développement. La société s’étend développée, ils durent faire construire un bâtiment pour étudier, fabriquer, dépanner, leurs inventions. Il ne pensait pas aux débuts qu’il atteindrait le nombre de 5000 personnes travaillant pour eux. Quand il se rendit compte que son travail de recherche se transformait petit à petit en travail administratif, réunions, signatures de documents, il délégua toute cette partie à son associé. Se retrouva dans le laboratoire de recherche et développement, qu’il dirigeait, avec une sincère modestie.Il avait su développer avec son équipe un relationnel et une fraternité que lui envoyait bien des responsables. On était début mai, et, il pensa aux vacances prochaines sans se douter qu’elles allaient chambouler complètement son avenir. Il gara sa voiture, entra dans les bureaux pour dire bonjour, salut à son associé et se rendit directement à son laboratoire. Bien qu’il soit en avance, certains de ses collaborateurs étaient déjà au labeur cet esprit d’équipe le réjouissait au plus profond de son âme.Il se mit au travail, ayant pour habitude de limiter non pas ses heures, mais le faite de n’effectuer ses recherches que sur son lieu de travail et considérait que son domicile n’était pas un endroit pour faire des heures en plus et de ce fait ne pas possédait pas à sa résidence de laboratoire ou autre pièces utilisable dans le même cas.Ces temps de repos, était utilisé soit en sortie, dîner, promenade dans la nature, et surtout le temps passé en compagnie de Julien, son ami d’enfance, celui qui avait partagé sa vie depuis si longtemps dans l’orphelinat, et qui lui aussi avait réussi dans un tout autre domaine, en ne fabriquant que des produits ayant directement attrait au nautisme, et à la plongée. Ses recherches et ses tests donnaient lieu à des essais quelquefois farfelus durant leurs cinq semaines d’été. En règle générale, il partait à bord de son yacht avec ses inventions, et pendant cinq semaines tous les deux en profitaient pour soi finir la mise au point des prototypes, soit en suggéré d’autres, soit d’envoyer aux rebus les échecs flagrants. Cela faisait déjà plus de 15 ans que les étés se passaient au même rythme, les deux hommes étant des célibataires endurcis, ils emmenaient parfois leur conquête avec eux, et en règle générale celle-ci ne restait pas toute la durée du séjour. À partir du moment où ils avaient quitté le quai jusqu’au moment du retour à aucun moment il ne mettait pied-à-terre. Ce style de vie quasi monacale ne convenait pas à certaines jeunes filles qui se sentaient délaissées, voir abandonnées. Il avait fallu pour cela s’obliger lorsque l’une d’elles les accompagnaient de prévoir des escales pour éventuellement débarquer dans un port les mécontentes. Quand il rentrait de ses vacances, non pas frais et dispos mais toujours à la recherche d’améliorations possibles de ce qu’ils avaient fait ensemble durant leurs congés.
🎓Ambassadeur Edition999
L’auteur, né a Villefranche sur Saône, a été électricien, puis s’est installé dans le Jura ou il a exercé différent métier, avant de devenir Assistant familial.
L’écriture étant une passion pour lui, il profite de ses rares moments de solitude pour écrire. Il s’est installé maintenant en...
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