Les blasphèmes de la démoncratie des franc-maçons
Nombre de pages en A4 : 428
Version publiée le 25 août 2023
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Thème :
Littérature
La quatrième de couverture
« La Révolution est satanique », avait dit, le premier, Joseph de Maistre.
« Aucun historien n’a pu donner une explication » plausible de ce mouvement en apparence national, en réalité purement- superficiel et factice.
En 1789, les ennemis de la religion et de la monarchie se chiffrent par un nombre infime. Taine constate que les révolutionnaires ne sont élus que grâce à des abstentions inimaginables : 74 000 abstenants à Paris en 1791 sur 81 000 électeurs ; à Limoges, 2 350 sur 2 500 inscrits ; à Grenoble, 2 000 absents sur 2 500, etc.
De même que la population, dans son ensemble, était restée profondément royaliste, de même le respect de la religion était général ; le peuple était foncièrement catholique.
Ainsi, en pleine Terreur, au moment où on massacrait les prêtres, on voyait la multitude « accourir de toutes parts pour se jeter à genoux, tous, hommes, femmes, jeunes et vieux, se précipitant en adoration au passage d’un prêtre portant le viatique ».
De tels contrastes sont singulièrement déconcertants pour qui ne possède pas la clé de ces événements. Il en est de même pour la plupart des révolutions ; elles sont l’oeuvre d’une faction, d’une minorité organisée maçonniquement.
À propos de la Révolution du Portugal, la Saturday Beview vient d’écrire : « Cinq cents policemen auraient eu raison de cette canaille ! »
La première page
Les récents blasphèmes ne sont pas présentés dans l’ordre chronologique.
« Pourquoi l’avoir cloué, pourquoi ne pas l’avoir enc…
Jésus est pédé ; y a pas que l’hostie qu’il faut sucer.
Cette manif’ qu’on appelle la cène fut la première gay pride. »
Le 10 janvier 2020, sur France Inter, ces gravissimes blasphèmes ont été chantés par le pseudo-humoriste Frédéric Fromet. Ils sont si ignobles qu’on les croirait extraits d’une orgie satanique !
Sous prétexte d’humour, le service public est devenu une machine de guerre qui déverse sa haine sur les chrétiens. À-t-on encore le droit de vivre sa foi chrétienne en France sans être ridiculisé ou agressé ? Si les blasphèmes proférés sont profondément choquants, l’absence de repentir l’est tout autant. Certes le coupable s’est excusé mais, dans son message, pas mot pour Notre Seigneur qui a été insulté ni pour les chrétiens qui ont été offensés ! Hélas, la réaction est bien faible, y compris chez les catholiques... Dans quel marécage d’indifférence pour le Bon Dieu la France croupit-elle ? Le blasphème est devenu si courant de nos jours que bien des personnes ont perdu conscience de sa gravité… Il s’agit pourtant d’une insulte faite directement à Dieu. Que diriez-vous si quelqu’un prononçait devant des millions de personnes les mêmes insultes à l’un de vos proches... tout en invoquant la liberté d’expression ?
Permettez-moi d’attirer votre attention sur le fait que les blasphèmes proférés sur France Inter s’inscrivent dans un climat anti-chrétien où un millier de profanations d’églises, de statues religieuses ou de cimetières catholiques ont lieu chaque année.
Et les persécuteurs ne s’arrêtent pas là…