Les confidences d’Arsène Lupin
Nombre de pages en A4 : 282
Version publiée le 19 juillet 2013
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1
du code de la propriété intellectuelle (CPI).
Protection des oeuvres
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son
titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10)
La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros
d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la
décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Les statistiques du livre
999 lecteurs ont feuilleté le livre
742 téléchargements depuis la parution
3 téléchargements sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
Evaluer le livre "Les confidences d’Arsène Lupin"
Note globale pondérée
3/5 sur 2 votants
Thème :
Classique
La quatrième de couverture
– Lupin, racontez-moi donc quelque chose.
– Eh ! que voulez-vous que je vous raconte ? On connaît toute ma vie ! me répondit Lupin qui somnolait sur le divan de mon cabinet de travail.
– Personne ne la connaît ! m’écriai-je. On sait, par telle de vos lettres, publiée dans les journaux, que vous avez été mêlé à telle affaire, que vous avez donné le branle à telle autre… Mais votre rôle en tout cela, le fond même de l’histoire, le dénouement du drame on l’ignore.
– Bah ! Un tas de potins qui n’ont aucun intérêt.
– Aucun intérêt, votre cadeau de cinquante mille francs à la femme de Nicolas Dugrival ! Aucun intérêt, la façon mystérieuse dont vous avez déchiffré l’énigme des trois tableaux !
– Étrange énigme, en vérité, dit Lupin. Je vous propose un titre : Le signe de l’ombre.
– Et vos succès mondains ? ajoutai-je. Et le secret de vos bonnes actions ? Toutes ces histoires auxquelles vous avez souvent fait allusion devant moi et que vous appeliez L’anneau nuptial, La mort qui rôde ! etc. Que de confidences en retard, mon pauvre Lupin ! Allons, un peu de courage…
C’était l’époque où Lupin, déjà célèbre, n’avait pourtant pas encore livré ses plus formidables batailles ; l’époque qui précède les grandes aventures de l’Aiguille creuse et de 813. Sans songer à s’approprier le trésor séculaire des rois de France ou à cambrioler l’Europe au nez du Kaiser, il se contentait des coups de main plus modestes et de bénéfices plus raisonnables, se dépensant en efforts quotidiens, faisant le mal au jour le jour, et faisant le bien aussi, par nature et par dilettantisme, en Don Quichotte qui s’amuse et qui s’attendrit.
La première page
en cours de rédaction
Il est né en 1864 et est mort en 1941.
Fils d’un constructeur naval, issu d’une famille bourgeoise, le père de Maurice Leblanc l’envoie en Ecosse, en 1870, pour le protéger de la guerre. Il reviendra une année plus tard et fera de brillantes études à la pension Patry et au lycée Corneille. Loin...