Accueil > Fantastique > No limite (sur les routes d’Afrique)
Le personnage, un magouilleur, un escroc qui n’a d’envergure que celle de survivre dans ce tumulte qu’est la vie. Sa fierté, toujours tout prévoir. Ses magouilles sont sans failles... Par hasard il se retrouve propulsé dans la peau du voyageur. Son périple à travers l’Afrique de l’Ouest nous fait découvrir la vie africaines avce ses codes. Une aventure sur le fil, à la limite du bien et du mal. Pleine de surprises, de magouilles, de sexe et d’humilité. Le personnage décape mais finalement s’en sort plutôt pas mal.
Assis dans l’avion qui me ramenait du Laos, je somnolais en repensant à ce qui m’avait incité à partir dans cette région du monde pendant si longtemps. Ce n’était pas par soif d’aventure, mais pour me faire oublier car il y avait de méchants hommes mal intentionnés qui en voulaient à ma personne. Après ce que je leurs avais fait, je les comprenais bien. Jusqu’à présent dans ma vie, je ne m’étais pas fait que des amis…
J’avais, quelques temps auparavant, rencontré une beauté asiatique qui se prénommait Suong. Dans nos folles nuits de débauche à Monaco. Elle m’avait fait promettre de la rejoindre un jour.
Elle faisait partie de ces « boat peoples » qui avaient débarqué du Vietnam, elle était venue avec son oncle et sa tante. Ses parents avaient fui et s’étaient réfugié au Laos. Souvent elle me disait « tu sais, il est temps pour moi de rejoindre mes parents, maintenant ils sont vieux et ont besoin de moi, je veux être présente le jour où ils partiront »…
Ce livre est une nouvelle longue qui mêle le fantastique au réel. Quand une folle se transforme en prophétesse, l’on devine déjà clairement que des nuages orageux remplissent le ciel.
Georges Greatman était un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire, un père de famille et un mari comblé. Il était sans aucun doute le meilleur publicitaire de sa boîte et sa femme, Jennyfer, était devenue un grand peintre talentueux. Rien ne semblait pouvoir (...)
Au tout début du XVIIe siècle en Anjou, sous le règne du roi Henri IV, le village de Candé et sa région sont les victimes d’attaques répétées de loups affamés. Des enfants sont dévorés ou mystérieusement enlevés lors de ces agressions (...)