Depuis son opération Myriam souffrait beaucoup mais restait stoïque et somme toute, pour une adolescente de 17 ans assez courageuse. Toutefois pour calmer la douleur elle pouvait prendre deux ou trois comprimés de Lynix par jour ; un très fort calmant (…)
Il n’avait pas de nom. Certain l’appelait le marcheur. Ni famille, ni ami. Ni envie, ni passion. Il était homme à déambuler, à la recherche d’elle, qu‘il avait un jour perdue. Seul, il cherchait son amour oublié.
L’être humain s’est engagé dans un chemin qui lui mène à prendre une décision : soit il abandonne tout ce qu’il avait bâti, soit il met en péril sa propre existence.