Tu crois au père Noël ? Comment pourrait-il passer par la cheminée du poêle à mazout ? Elle a raison, c’est bizarre, il faut élucider ce mystère.
2020
Cet autobiographie relate la véritable histoire d’un jeune Africain qui décide de quitter sa famille et son pays pour aller chercher une meilleur vie en Europe. Jamais auparavant il n’était sortie de son pays comme il s’apprêtait à le faire et bien loin de (…)
Il a 23 ans et il est militaire sur la base aérienne de Villacoublay. Elle en a 20 et habite à Bièvres. Ils se sont rencontrés par le plus pur des hasards un soir de printemps et il est immédiatement tombé sous le charme de cette jeune femme blonde comme (…)
Hommage à ma chatte chérie disparue et tant aimée.
12 avril 2020, par francis gouffé
Merci pour ce beau commentaire digne de l’arrière petit fils de Céline.
J’aimerais bien avoir de tes nouvelles.
Francis
12 avril 2020, par Pierre Rabbit
J’ai très bien connu Francis quand j’étais adolescent. Moi à la recherche d’un père, lui d’un fils.
Francis se livrait à moi dans la vie comme il se livre au lecteur dans cet ouvrage. Un caractère Balzacien (plutôt qu’Hugolien), très grand conteur, joueur, seul et entouré, heureux dans la tourmente, constamment au milieu d’une transaction, obsédé par la peur de l’impotence, la trahison, la distance de ses parents, la distance de ses enfants, le jugement des autres, l’imposture, l’impotence.
Tout se retrouve dans ce livre.
C’est un grand livre à la fois tendre et sans tendresse, fier et humilié, littéral et abstrait, généreux et cruel. Francis réussit le tour de force de réunir les contraires.
Il faut imaginer Francis heureux. Il faut l’imaginer aimé de ses enfants. Et à la fois tout le contraire. Il a tout vécu et montre sa force face à la mort dans ce très beau livre.
Pierre, maintenant aux US, seul et entouré.
8 avril 2020, par François-Xavier Lenoir
Belle initiative de la part de Francis de faire revivre ce monde horrible et séduisant des années 50, puis 60 et suivantes.
J’apprécie d’autant plus cet ouvrage que j’ai connu la plupart des gens et des lieux mentionnés. J’étais loin de m’imaginer tout ce qui se tramait sous une façade avenante et brillante. Je suis cependant heureux d’avoir profité des visites, des restaurants et des nombreuses pièces de théâtre dont mon parrain, Pierre G. m’a fait bénéficier durant mes jeunes années. Je ne l’oublierai jamais.
Je suis aussi sensible à ce qui se dit au sujet du meuble et de son quartier. Fils du marchand de tapis dont il question dans le texte, je descends surtout par ma grand-mère maternelle d’une vieille famille prestigieuse du Faubourg Saint-Antoine, basée au N°74, la maison Kriéger, puis Cosse et Racault, Damon enfin qui a duré pendant une bonne partie du XIXe siècle. Il ne m’en reste presque rien sinon quelques objets, des photos plus ou moins bien légendées, mais surtout de multiples sujets de recherches à approfondir.
J’ai le sentiment d’être passé à côté de la "grande" aventure et pourtant d’avoir échappé à une série de soubresauts, donc d’avoir eu une vie rangée quoique plutôt bien rythmée, jusqu’à l’actuel confinement. Orgueil, mon bon malheur est une bouffée d’oxygène.
2 janvier 2020, par Regy
Pour le moment,je n’ai encore eu le temps que d’apprécier la couverture:Les encres de Victor Hugo évoquent déjà le quartier vers place des Vosges et
Saint Antoine...curieux de lire la suite du premier livre...et se replonger dans l’ambiance du siècle dernier.
21 décembre 2019, par Sophie Leroux
J’a l’écriture claire et précise,l’aut n’e pas complaisant avec lui-même,mais fait preuve d’autodérision.c’est le témoignage de toute une époque
13 décembre 2019, par Haudecoeur Monique
J’ai beaucoup aimé ce livre pour la franchise de l’auteur et son autodérision.
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