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De 1960 à 1970, par plages , Patoune raconte son enfance du point de vue de son âge du moment.
Patoune twiste à Clichy, Patoune dîne avec les loups, Patoune confectionne des sandwiches pour les derniers GI, conquiert Montmartre, ou replonge là où tout a commencé pour elle, pour un bain amniotique dans la Méditerranée.
C’est à Clichy que j’ouvre les yeux.
Ma vie commence comme celle de la petite dernière d’une grande famille. Maman, c’est la mère de ma mère.
Le bonheur des bébés Guigoz sort d’une dosette en plastique. La choupette du bébé dodu de la boîte d’aluminium cannelé sert de modèle de coiffure à toute la génération des post-baby-boomers.
Nés dans le paradis de l’essor économique d’une France rénovée, leur avenir ne promet qu’opulence, et découvertes domotiques.
Le bébé Guigoz français possède :
Une timbale et une cuillère en argent avec lesquelles, du haut de son trône de bois, il dirige les réunions familiales,
Une girafe de caoutchouc, pour amuser ses visiteurs.
Une brosse de soies blondes, et manche de bois, pour coiffer sa mèche chaque matin.
Mes cheveux ont alors la même couleur que ceux du fameux bébé Guigoz, mais il faut à Maman, un tour de brosse exceptionnel pour réussir le tableau sans faute.
Lorsqu’elles s’y essaient, les tatas posent la boîte bien en vue pour copier. Le résultat ne les satisfait jamais dès la première fois.
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