Tout ce qu’une jeune ibode peut penser et vivre tout bas sans jamais oser le dire.
Nous reconnaissons dans ce mot de paranoésie qu’il est composé de deux éléments. Le premier tiré de paranoïa qui est folie, le second, venant de poésie, qui est également folie, du moins si l’on en croit certains adeptes fanatiques de la raison.
Quand la violence sévit, c’est le marteau et l’enclume qui s’ y imposent et la prière est vaincue…