Accueil > Littérature > Une rencontre inattendue
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Reeva , sortant de son travail tard le soir, assiste à un meurtre. Se faisant prendre , elle devient la cible du meurtrier , cherchant à s’enfuir , elle se fait renverser par une voiture dont le conducteur est un homme au charme ravageur . Elle perd la mémoire et Juan Marcos le conducteur de la voiture, la prend sous son ail , elle tombe alors éperdument amoureuse de lui . Plus tard les problèmes resurgissent
Reeva Sharma, après une dure journée de travail au « night club »où elle travaille comme serveuse, rentrait dans sa maison, si on pouvait qualifier le trou à rat, qu’elle partageait avec son amie Anna, de maison. Anna était tout comme elle serveuse, elle l’avait accueillie à bras ouvert quand Reeva était arrivée dans cette ville dans l’espoir de se construire un avenir meilleur. Toutes deux étaient les meilleures amies, elles se disaient tous. Anna était orpheline depuis sa naissance, elle avait grandit dans un orphelinat et à l’âge de 18 ans, était partit et faisait ce qu’elle pouvait pour gagner sa vie. En ce qui concerne Reeva elle était elle aussi orpheline, mais ça faisait deux ans maintenant que ses parents étaient mort dans un accident de voiture en Inde, suite à cela et étant donner qu’elle n’avait ni frère ni sœur, elle avait tous laisser tomber pour venir ici.
Le roman « Catherine » sur la mer, sur l’amour, sur les relations entre l’homme et la femme. Lors d’un voyage touristique en Grèce, Catherine ne s’attendait pas à rencontrer son amour là-bas.
Une histoire de femme. De complicité tendre et d’une enfance mouvementée. D’un retour sur le passé pour reconstruire une vie. L’étrange se manifeste car il est le chemin à suivre. Vies dans le faste des palaces et richesse côtoient la vie au quotidien. Trois (...)
Sud de la France, début des années 70. Maxime, vingt-deux ans, rencontre par hasard Salomé, son amour de jeunesse, d’enfance, l’amour de sa vie, dont il avait perdu la trace une dizaine d’ années plus tôt, lorsqu’elle avait dû quitter Oran. Un amour inavoué et (...)
Si la vie porte le manteau de la survie et qu’une once de soleil ponce l’horizon pour y poindre, c’est parce qu’au fond de l’océan, lit nuptial de l’espoir, la dernière couche vivante de l’amour existe encore. Mais elle tend à (...)