Le feu dans la cheminée s’était endormi et la chaleur avait laissé sa place à une odeur lourde, indéfinissable et d’une puanteur épouvantable. Les murs dégoulinaient d’aliments séchés. Des morceaux de verre étaient disséminés un peu partout. La grande table retournée ressemblait à un radeau perdu en pleine mer.
Un corps bougea. Marcel, les muscles ankylosés par deux heures de sommeil couché à même le sol, se déplaça lentement. Sa bouche était pâteuse par l’absorption de divers alcools. Ses narines dilatées par des « sniff » répétés, l’amenèrent tout d’abord à repenser son idée de mouvement.
– Remue-toi, mon gros. Arrache ce corps inerte.
Plantés sur son crâne, ses derniers cheveux blancs étaient durs comme une brosse à chiendent. Ils lui cuisaient la peau. C’étaient des aiguilles chauffées au rouge.
Mais tout cela n’était qu’illusion.
Son corps par des moyens très personnels, lui rendait la monnaie de sa pièce.
La plus grande souffrance se situait au niveau de son sexe flasque, fripé et déformé comme un fil de téléphone. Cela lui chauffait le gland et ses testicules pendaient avec deux boules réduites au minimum.
Violent avait été le dépucelage de Virginie Henry. La timide avait donné son corps pour de l’argent.
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Quel est ce décor blanc et froid ? Qui est cet homme un couteau à la main ? Ou va t-on ? Que fait-on ? En quelques lignes entrées dans l’univers macabre de Jean-Michel Pailherey . Murs blancs tachés de billes rouges Sol ruisselant de liquide Lumière blanche et (...)
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— Bonjour Yves, qu’as-tu comme curiosité aujourd’hui ? Bonjour Prêtresse ! Je pense à ce que tu m’as dit, de la majestueuse volonté de mon esprit pour sa polyvalence, tu en parles comme si c’était quelqu’un, cela me fait drôle (...)
Yves bien installé sur le banc, voit venir avec satisfaction la Prêtresse… Bonjour Prêtresse, je sais que tu vas me dire que tu es surprise de me voir, si tôt !
27 février 2006, par stephenking999
Ca y est. Enfin la suite. J’espère qu’il ne faudra pas encore attendre un an pour le tome 3. Par contre j’ai trouvé cela un peu plus violent, le sexe est cru et cela laisse entrevoir de la violence pour l’avenir.
^ 15 juin 2006, par simon
géniale, cette saga est dantesque