Jean Henri DAVIER, confie volontiers qu’il a éprouvé – sur le tard – l’envie d’écrire : « Pour mieux me surprendre, à chaque reprise du manuscrit, j’ouvre une page blanche, un peu comme un décor pour une nouvelle aventure, sans savoir encore ce qu’il va advenir de mes personnages et de l’évolution de l’intrigue. Ainsi, l’auteur se dédouble chez moi en lecteur (et critique) attentif qui découvre en temps réel la suite du récit, alliant au plaisir de l’écriture, celui de la lecture et du suspens qui y est associé. » Avec « Alex et Dorothy », il s’essaie au genre du roman d’aventures, un peu dans la tradition d’Indiana Jones. Dans son deuxième livre « Irène et les ballons », il montre comment un traumatisme vécu pendant la petite enfance conditionne toute une existence et décide au final de la destinée d’une vie.