Ce que la nuit doit au jour Tome 1
Nombre de pages en A4 : 210
Version publiée le 17 juin 2017
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Thème :
Littérature
La quatrième de couverture
Ce roman relate l’histoire N’Aïth Aïcha, en parallèle avec celle de l’Algérie. Cette tribu, porte orientale d’Alger et verrou de la Kabylie, s’est toujours opposée à l’envahisseur de l’Algérie depuis les Romains à travers Ifermen et Cyria jusqu’à la guerre de libération, en passant par l’invasion hilalienne combattue par Aïcha dont elle porte le nom. Le premier tome relate la lutte de Firmus, Cyria, Aïcha, Belkadi, Émir Abdelkader, Boumaza, Cheikh Bouziène,Bennacer Benchohra, Boubaghla, et Fadhma N’Soumer contre les ennemis de l’Algérie.
La première page
Les travaux des champs tiraient à leur fin. La dernière opération avant les moissons : le désherbage du blé auquel participaient les femmes était largement entamé.
Ce matin, Doudah N’Aïth Rached comptait se rendre à Thala N’Zermène, une ferme familiale située sur le mont Jaouna. En descendant du village d’Aïth Hmadhouche, il se dirigea vers Soufath, une terre tribale, constituée d’une vallée quelque peu encaissée à l’extrême sud-est de la plaine des Issers.
Arrivé au bas de la montagne, il remarqua que son cheval boitait. Constatant qu’un des fers avait lâché, il rebroussa chemin afin de passer par Aïth M’rah, pour se rendre à Souk-El-Had, marché hebdomadaire d’Aïth Aïcha, situé au pied du mont Valoul sur la route d’Alger Constantine. Ce marché, le plus important de la région, était fréquenté par les tribus de la plaine de l’Isser, des montagnes environnantes et de temps à autre par celles de la Haute Kabylie, de la Mitidja et d’Aïth Ménaceur.
Natif de Souk-El-Hâd (Boumerdès) en Basse-Kabylie, Belkacem Rachidi a gouté au savoir sous le colonialisme, mais sevré à peine l’adolescence entamée. Titillé par la soif du savoir, il renoue avec lui à l’indépendance de son pays, l’Algérie en tant qu’enseignant la journée et étudiant le soir....