Enlève le haut. Pour le bas, j’arrive
Nombre de pages en A4 : 96
Version publiée le 16 octobre 2020
- (Première publication sur Edition999 le 2 février 2020)
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Thème :
Littérature Erotique
ISBN : A venir
La quatrième de couverture
Être attaché(e) peut augmenter singulièrement le plaisir. Encore faut-il que l’autre sache comment faire… Voici quelques nouvelles qui mettent en scène de belles femmes, de beaux hommes, d’autres nettement moins bien, des vampires, et même Adam et Eve !
Ces histoires m’ont été dictées. J’ai imaginé un personnage et celui-ci m’a raconté son histoire, tout d’une traite. Je pensais que les choses allaient bien se passer… Ce n’est pas toujours le cas. Je n’ai rien pu y faire. Comme dans un rêve, on ne décide pas !
Ces histoires explorent le thème du bondage. J’ai voulu distraire, voire amuser, mais non choquer. Elles sont toutes racontées par la victime. Femme ou homme, celui qui est attaché a beaucoup de chose à dire.
Avec les cordes (et autres accessoires), on ne contrôle plus rien. On donne tout, son corps et même sa pensée, à l’autre, qui en fait ce qu’il veut. Ne rien savoir de l’instant qui vient suscite l’angoisse, et donne au plaisir une singulière intensité.
Tout est décrit dans le détail, les accessoires sont vendus sur Internet. Vous pouvez les tester par vous-même. Mais, attention, les vampires, ça mord !
AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
Je suis ce qu’on appelle un « dragueur invétéré ». Le seul (gros) problème est que je m’appelle Jean Dupont. Déjà, dans les quartiers chics, comme le 6ème où j’habite, je perds 20 % de mon potentiel quand je dis mon nom. Mais, dans le Marais, par exemple, c’est 80 ! Je me suis fait des cartes de visite, avec des noms divers, un par jour. Lundi, je m’appelle Lilian Gartner, mardi Mike Sachs, mercredi Marc Pfeiffer, jeudi Jason Hirsch, vendredi Vianney Seidel, samedi, c’est Chabat, alors je me nomme Abraham Koch. Dimanche, dans les rues il n’y a que des familles et des bonnes d’enfant, je me repose, comme le Seigneur !
Alfred Anchetain sur «Enlève le haut. Pour le bas, j’arrive»
Edition999 : Vous nous avez confié, il y a un an, votre premier recueil érotique « Enlève le haut ; pour le bas, j’arrive ». Il dépasse les 10.000 téléchargements. Vous êtes un auteur heureux !
Alfred Anchetain : Oui, mais certains textes approchent les 25.000 téléchargements ou même dépassent les 55.000. Je suis étonné que vous touchiez un aussi large public, alors que je vous ai découvert presque par hasard.
Edition999 : Nous ne faisons aucune publicité.
Alfred Anchetain : J’ai bien compris votre « tout gratuit », pour celui qui écrit et celui qui lit. C’est le bon choix, avec ce succès magnifique.
Edition999 : Vous êtes un auteur sérieux.
Alfred Anchetain : J’ai publié plus de 25 ouvrages, mais leur tirage était très loin de « Enlève… » alors que je ne pensais avoir aucune compétence en érotisme.
Edition999 : Vous avez aussi écrit des romans historiques.
Alfred Anchetain : Sérieux et documentés, mais avec un résultat modeste. Je me suis dit qu’à mon (grand) âge, si je ne me lâchais pas un peu, je n’arriverais à rien ! D’où ce recueil, un peu déjanté.
Edition999 : Ces textes vous ont été « dictés ».
Alfred Anchetain : Quand je conduisais en voiture ou en faisant du VTT dans les bois, je « disais » à voix haute ces histoires (l’une après l’autre). Je les écrivais en arrivant chez moi, pour ne rien en perdre. Tout cela sans aucun effort, comme si la personne me parlait, me racontait son aventure.
Edition999 : Certaines de vos nouvelles sentent le « vécu »
Alfred Anchetain : Ce ne sont pas des personnes étrangères à moi. Ces récits s’appuient sur mon expérience. Mais finalement assez peu. Je suis beaucoup plus classique…
Edition999 : Vous aimez rire.
Alfred Anchetain : La vie est trop courte pour accepter qu’elle soit triste. Certaines nouvelles sont « énormes », et portent à sourire. Mais j’ai voulu qu’elles soient vraisemblables. Même l’aventure avec les vampires s’appuie sur du vrai, les lieux existent, même si j’ai mélangé deux châteaux, un médiéval et un plus récent. Comme dans Jules Verne, le fantastique doit rester près du quotidien.
Edition999 : Petite question très indiscrète : pratiquez-vous le bondage ?
Alfred Anchetain : Il faut ajouter du « piment » à la sexualité, sinon elle est routinière. L’homme (le mâle) doit savoir égayer les relations, car il peut plus facilement prendre des distances que la femme, souvent trop impliquée pour imaginer un jeu. Encore que maintenant les filles prennent parfois les rênes et les garçons suivent.
Edition999 : Le bondage est surtout pratiqué (dans le couple) par des intellectuels dans la seconde partie de la vie.
Alfred Anchetain : Lisez les journaux féminins. Des jeunes en parlent facilement sans se prendre la tête. Elles semblent bien s’amuser, sans avoir pour autant de mauvaises idées !
Edition999 : Qu’elles enlèvent le haut, et pour le bas vous arrivez !
Alfred Anchetain : Non, je ne suis pas comme ça. Je le raconte…
🎓Ambassadeur Edition999
Je suis arrivé à la retraite. J’avais publié un certain nombre d’ouvrages sérieux chez des éditeurs classiques, et j’ai voulu changer de cadre, avec des nouvelles érotiques. Je les ai fait lire à mon entourage. Silence total ! J’étais désespéré, car je m’étais beaucoup investi, et les écrire...
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