– Mot de l’auteur
De divers méridiens, des regards se sont attardés sur mes textes ; d’un profond sentiment de gratitude envers ces adeptes de la francophonie, je leur dédie ma pensée de circonstance...
Il y aurait eu sur notre planète qu’un seul langage universel ! « Amour et compassion fraternelle » serait la seule religion !
– Yves est déjà sur le banc préféré de la prêtresse, sous le tilleul... le tilleul serait bienfaisant à l’esprit, aurait dit un antique "Sage", la prêtresse l’affirme par conviction en démontrant que sur le parcours de prière des moines, il est jonché de tilleuls aux points de repos, Yves s’en accommode volontiers puisque là, est l’endroit de rencontre avec cette prêtresse si complaisante à répondre à ses questions, il en raffole, car d’esprit "introverti" sa curiosité gourmande accumule en lui ses besoins de tout savoir sur l’existence. La prêtresse en a conscience et heureuse de lui venir en aide, car elle sait que trop d’enfants silencieux timides restent sur leur manque et doivent en souffrir.
- Bonjour Yves ! De si bonne heure... serait-ce un signe d’impatience ?
Puisque un Sage aurait dit « Reposes toi sous un tilleul son haleine fortifie ta paix intérieure !
2015
Bonjour Yves, je te trouve sérieux et penseur... cela a l’air sérieux ! Bonjour Prêtresse, oui je pensais à ce que tu me dis, sur la vie, l’âme, l’esprit, le corps, la loi des contraires, le monde parallèle, (...)
2020
Papy, le président vient de dire que l’on est en guerre, c’est impressionnant, toi Papy tu connais bien ça... qu’en dis-tu ?
2020
– Bonjour Yves, je te vois effondré que se passe-t-il ? Bonjour Prêtresse, eh bien je suis abasourdi ! Tu m’as parlé de nos anciens qui croyaient que la terre était plate et voilà qu’à la "télé" on nous montre en conférence un groupe de personnes faisant une thèse (...)
2020
Bonjour, Yves, je te trouve l’air bien soucieux, y puis-je quelque chose ?...
— Bonjour Yves, qu’as-tu comme curiosité aujourd’hui ? Bonjour Prêtresse ! Je pense à ce que tu m’as dit, de la majestueuse volonté de mon esprit pour sa polyvalence, tu en parles comme si c’était quelqu’un, cela me fait drôle (...)
Le feu dans la cheminée s’était endormi et la chaleur avait laissé sa place à une odeur lourde, indéfinissable et d’une puanteur épouvantable. Les murs dégoulinaient d’aliments séchés. Des morceaux de verre étaient disséminés un peu partout. La grande table retournée (...)
– Bonjour Yves, alors cette nuit, as-tu mis de l’ordre dans ta tête ?... Bonjour Prêtresse, oui ! Mais c’est laborieux, j’ai des difficultés à admettre les libertés que se prennent les chercheurs, lorsque tu dis... les conséquences sont d’éveiller des souches (...)