Accueil > Littérature Erotique > L’ADOLESCENTE ET MONSIEUR JEAN
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Un vieil homme promenant son chien, rencontre une adolescente dans la rue. La nostalgie du souvenir agit sur elle, l’émeut et la séduit à cause du chien qu’il tient en laisse. Ils se rencontrent plusieurs fois et parviennent à sympathiser, au point que désireuse d’accepter sa proposition, elle décide de le suivre jusque chez lui. Leur connivence n’est pas du goût de tous à vivre dans le même studio. Par chance, ils déjouent les actions néfastes de ceux qui se proposent de les éliminer.
Dans une fréquence constante, soutenue, les véhicules avaient beau passer en sillonnant la rue, la camionnette était toujours là, en attente. Le beau temps était revenu, en ce début d’après-midi, même si les jours d’automne déclinaient encore assez vite. L’homme avait quitté le véhicule, un instant plus tôt, avant de revenir pour y prendre place.
Ses regards furtifs aux panneaux du quartier, dénotaient et révélaient qu’il n’était pas du coin, qu’il avait dû mémoriser son itinéraire à partir d’un plan. Depuis qu’il se trouvait derrière son volant, il avait l’air de filtrer les voitures, comme s’il pouvait contrôler chacune d’elle, sans la voir, mais cela l’indifférait, il n’y attachait pas vraiment d’importance. Son temps à lui n’était pas celui des autres. Dans son indifférence au mouvement des véhicules, à celui des piétons qui entraient dans les boutiques ou en sortaient, s’il se trouvait là, et non pas ailleurs, il prenait garde à ce que sa présence ne fût vue ni reconnue. Le but à atteindre le concernait seul et personne ne devait se permettre de l’identifier. Sans en avoir l’air, il semblait pensif. Cela lui permettait de déjouer le moindre soupçon. Sans doute tenait-il à croire qu’il était un inconnu peu facile à reconnaître dans une camionnette de livraison, sans rien de particulier. La rue, dans son va et vient habituel, par endroits, donnait l’illusion qu’elle pouvait être aussi bien, peu fréquentée. L’homme se distinguait à peine en silhouette derrière son volant. Le seul point fixe, visible, était son regard, derrière une visière pare-soleil abaissée, presque en accord avec la grisaille du jour qui déclinait à l’approche du crépuscule, un peu avant l’envahissement du ciel nocturne. La luminosité encore suffisante interdisait aux lumières de s’allumer un peu partout dans les boutiques, aux enseignes clignotantes des façades de la rue, de mourir et de renaitre à l’entrée des établissements éclairés.
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C’est mercredi et Mél arrive en début d’après-midi, oh mon Dieu comme elle est mignonne dans son adorable jupette à carreaux, toujours vive et enjouée, comme à son habitude. Nous nous enlaçons, nous claquons un kiss majuscule et nous montons nous réfugier dans ma (...)