L’ Île au trésor
Nombre de pages en A4 : 270
Version publiée le 5 septembre 2018
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1
du code de la propriété intellectuelle (CPI).
Protection des oeuvres
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son
titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10)
La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros
d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la
décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Les statistiques du livre
5569 lecteurs ont feuilleté le livre
2670 téléchargements depuis la parution
3 téléchargements sur les 7 derniers jours
1 téléchargement aujourd'hui
Evaluer le livre "L’ Île au trésor"
Note globale pondérée
4.31/5 sur 29 votants
Thème :
Adolescents et Jeunes Adultes
ISBN : 9782900837030
La quatrième de couverture
Merci à Jean-Paul Michut pour cette proposition de publication :
Robert-Louis Stevenson est un écrivain écossais, grand voyageur, né à Edimbourg en 1850 et décédé aux îles Samoa le 3 décembre 1894.
« L’Île au trésor », roman qui fut son premier succès, est une histoire palpitante de marins et de pirates. Le héros et narrateur en est le très jeune Jim Hawkins, garçon courageux et futé. C’est lui qui tire d’affaire ses compagnons adultes, le docteur Livesey et le chevalier Trelawney.
Ils sont à la recherche d’ un fabuleux trésor dans une île lointaine.
Après bien des péripéties, le trouveront-ils ?
En savoir plus : http://jean-paul-michut.simplesite.com/
La première page
C’est sur les instances de M. le chevalier Trelawney, du docteur Livesey et de tous ces messieurs en général, que je me suis décidé à mettre par écrit tout ce que je sais concernant l’île au trésor, depuis A jusqu’à Z, sans rien excepter que la position de l’île, et cela uniquement parce qu’il s’y trouve toujours une partie du trésor. Je prends donc la plume en cet an de grâce 17…, et commence mon récit à l’époque où mon père tenait l’auberge de l’Amiral Benbow, en ce jour où le vieux marin, au visage basané et balafré d’un coup de sabre, vint prendre gîte sous notre toit.
Je me le rappelle, comme si c’était d’hier. Il arriva d’un pas lourd à la porte de l’auberge, suivi de sa cantine charriée sur une brouette. C’était un grand gaillard solide, aux cheveux très bruns tordus en une queue poisseuse qui retombait sur le collet d’un habit bleu malpropre ; il avait les mains couturées de cicatrices, les ongles noirs et déchiquetés, et la balafre du coup de sabre, d’un blanc sale et livide, s’étalait en travers de sa joue. Tout en sifflotant, il parcourut la crique du regard, puis de sa vieille voix stridente et chevrotante qu’avaient rythmée et cassée les manœuvres du cabestan, il entonna cette antique rengaine de matelot qu’il devait nous chanter si souvent par la suite :
Né le 13 novembre 1850 à Édimbourg, Robert Lewis Balfour Stevenson est un enfant unique, solitaire et de constitution fragile. D’un tempérament bohème et ayant le goût du voyage, il écrit en 1878 son premier livre : Voyage en canoë sur les rivières du Nord (An Inland Voyage), récit de ses...