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L'histoire inconnue de la Russie à travers ses manifestations populaires

L’histoire inconnue de la Russie à travers ses manifestations populaires

L. Fayer Tyaglova Shulga (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 115

Version publiée le 23 mars 2021

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Thème : Littérature

ISBN : 978-2-9560273-7-9  

La quatrième de couverture

N. B. Il parait que les grottes de Barabar (dont les murs en granit sont polis avec une précision qui étonne tous les spécialistes en matière de travail de la pierre) servaient d’outils aux représentants de la civilisation précédente pour pratiquer la génétique vibratoire (ondulatoire). Je connais certains scientifiques russes qui ont fait dans ce domaine de sérieuses recherches (N. Kozyrev, P. Garaiev dont le dernier est nominé pour le prix Nobel de médecine, qui se tiendra en 2021). N.A. Kozyrev (dans Institute of Experimental Medicine of Siberia) a réussi à régénérer certaines parties du corps humain de personnes souffrantes grâce à des caissons dont les murs étaient recouverts de miroirs.

Pour ceux qui s’intéressent à la version papier de mon livre, voir la FNAC.

Ce livre qui est, en premier lieu, une étude ethnographique des manifestations populaires russes, révèle qu’elles font partie de la culture indo-européenne.
Après avoir noté de multiples parallèles entre les traditions populaires russes, celles des peuples européens, ainsi que celles de l’Iran et de l’Inde, l’auteur cherche à comprendre d’où viennent ses racines communes ? C’est là qu’il découvre une proto culture européenne liée aux migrations des peuples indo-européens dans la préhistoire (entre 4000 ans av. J. Ch. et l’Age de Fer).
Mais les dernières réflexions des scientifiques et amateurs (voir BAM de PATRICE POUILLARD) laissent penser que cette proto culture est l’héritage d’une civilisation de plusieurs milliers d’années qui nous a légué les pyramides en Égypte, des grottes en Inde (Barabar) et d’autres artéfacts comme le mécanisme d’Anticythère (se trouvant actuellement au musée d’Athènes) qui remettent en question l’histoire officielle.
Sous ce nouvel éclairage, certains éléments folkloriques russes laissent penser que non seulement les sages savaient que la terre tourne autour de notre soleil en marquant deux équinoxes et deux solstices, mais qu’en plus qu’ils avaient aussi connaissance de la rotation de la terre autour d’un « soleil noir » (probablement le trou noir de notre galaxie). Le symbole du svastika avec huit (ou douze selon les cas) branches recourbées laisse deviner que la structure en spirale de notre galaxie ne leur était pas inconnue non plus.
Nous pensons qu’ils ont hérité ce savoir de cette civilisation précédente disparue aujourd’hui.

La première page

Il s’agit d’une légende védique (des vieux croyants vivant encore dans la Taïga sibérienne) qui raconte la création du monde. Au tout début il y avait CELUI qui n’a pas de nom et qui a décidé de créer le monde de sa lumière d’amour. Cette lumière, partie d’un point, s’est propagée comme des vaques circonférentielles en chassant le NOIR (l’ignorance) et en transformant le RIEN en multivers plein de vie et de couleurs. Il aurait pu éliminer tout le noir et tout le rien, mais il n’en fit rien et décida de leur laisser une place et donc, la possibilité d’être des objets de choix dans sa création qui comprenait une perpétuelle évolution du bas vers le haut en suivant le « chemin d’or ».

  

Biographie de L. Fayer Tyaglova Shulga

Professeur de russe en libéral ; docteur en science du langage

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