Quand la poignée d’ouverture de son parachute se bloqua, Didier poussa un petit cri de chaton et se mit à mouiller son pantalon en acrylique - cinq $ de caution ! fumiers de ricains ! - tout en fixant le sol se rapprochant à plus de 300 km/h. Autant dire (…)
Il arriva dans la chambre. Une pièce ordrée, pleine de nombreux souvenirs inutiles. Le genre de souvenir que l’on achète par coup de foudre et que l’on range par respect, pour finir par l’oublier avec dédain. Il se figea au milieu de la chambre et lança à (…)
Cette histoire n’a pas vraiment de péripéties et d’événement perturbateur, car ce récit se raconte un peu comme si on décrirait qu’un voyage touristique.
29 août 2006, par dagda_01
Moyen, le principe de base me plaisait beaucoup mais je ne le trouve pas bien mené. La fin est assez facile et sans réel explication. Peut-être que tu ne savais pas trop comment finir... ou bien es-ce peut-être la courteté de ta nouvelle qui ne laisse hélas aucune place aux explication. Donc une oeuvre qui s’avale sans pourtant bien se digerer