La plateforme gratuite de diffusion littéraire
Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Quand la violence sévit
Quand la violence sévit, c’est le marteau et l’enclume qui s’ y imposent et la prière est vaincue…
Quand la violence sévit, personne n’est à l’abri...
Lundi 27 Aout, 9h, 3O mn, le téléphone a sonné…
– Papa, viens vite s’il te plait ! Amin est blessé ! Il a reçu un coup de pelle au crâne par Wâwâ « un personnage violent issu d’une tribu xénophobe comme toutes les tribus dans mon pays.
– Oui, ma fille, j’arrive tout de suite, ferme la porte et courage ! Lui ai- je répondu fermement…
J’ai quitté le magasin, à deux minutes de l’endroit où je me trouvais par voiture, Awed, un ami m’y a conduit. Arrivé devant chez-moi, J’ai découvert des gens affolées, munies de différentes armes blanches : pèles, gourdins et tout ce qui pouvait effrayer ses prétendus adversaires…
Je me précipite dans le hall en piétinant des taches de sang et je découvre mon fils dont le visage était maquillé de sang. Le voisin d’en face est intervenu pour le conduire en urgence, vers l’hôpital Chee Gui Vara de Mostaganem où exerce le médecin légiste. Ma fille dans un état de choc lamentable …
L’auteur raconte des événements qui résument un processus démocratique d’un peuple opprimé depuis la nuit des temps...
2019
C’est une nouvelle pour informer le public que chaque personne n’a que la fréquentation qu’il mérite.
2017
« Je dédie ce roman à mon plus cher ami sans omettre ceux qui ont perdu un ou une de leurs poches victimes de cette maladie rarissime « maladie de Charcot ».
2017
J’ai pu enfin réaliser mon rêve, prendre le funiculaire le soir et là, c’était vraiment merveilleux. La nuit commençait à tomber et avec les couleurs bleu et argent du lac et du ciel, je me croyais dans un conte de fée ou bien dans un dessin animé mais (...)
Mon livre est une œuvre qui parle de mon vécu dans la politique de mon pays en militant dans un parti,je décris aussi le comportement des puissances étrangères dans mon pays et en Afrique.
Ce livre expose deux correspondances : celle de M. KADJA (nom modifié), étranger d’origine ivoirienne à l’époque des faits et l’administration française (la préfecture) qui lui a demandé de quitter la France.