Je fermai les yeux et l’ombre disparût. Les gouttes suaient de mon front comme des perles d’eau d’une stalactite. J’avais réussi à m’habituer à sa présence. En effet, elle m’était déjà apparût pas mal de fois et j’avais compris qu’elle ne me ferait pas de (…)
2005
Assise à son bureau, elle sentit que son cancer progressait. La maladie continuait son ravage. Malgré sa chimiothérapie, ses attentions alimentaires, ses efforts physiques et sa volonté décuplée, elle sentait l’irréversible progression.
Ceci n’est pas une histoire vraie mais un roman fantastique. Toutefois certains personnages ont réellement enseigné dans un lycée appelé Saint Paul situé à Besançon. L’anonymat étant de rigueur, l’utilisation de pseudonyme ou d’autres noms pour les (…)
Louis Chaudet, un homme d’une bonne trentaine d’années, revient dans le centre aéré de son enfance. Le corps d’un enfant vient d’y être découvert, assassiné par un dangereux maniaque rôdant toujours dans les environs. Ce dernier a laissé derrière lui un (…)
16 mai 2005, par Jean-Michel
j’ai trouver super bien votre nouvelles je l’ai bien aimer je vous félicite continuer a écrire des nouvelles fantastiques aurevoir
16 mai 2005, par Jean-Michel
C’est vrai que c’est vraiment tres bien ecrit, mais il parait que la critique ca fait avancer, alors juste une mini critique sur ce passage
Une bombe aurait pu exploser à coté d’eux, qu’ils ne s’en seraient même pas rendus compte. Soudain, le clapotis de l’eau les décrocha de leurs échanges
Pourquoi si une bombe ne les derangerai pas et le clapotis de l’eau oui ? Enfin , il n’y a que ca qui m’a derange