Je fermai les yeux et l’ombre disparût. Les gouttes suaient de mon front comme des perles d’eau d’une stalactite. J’avais réussi à m’habituer à sa présence. En effet, elle m’était déjà apparût pas mal de fois et j’avais compris qu’elle ne me ferait pas de (…)
2005
Arrivé devant le numéro 12, il vérifia une fois encore l’adresse indiquée sur la carte de visite. C’était bien ici. L’imposante grille en fer forgé donnait à la bâtisse un air solennel qui convenait tout à fait à la renommée du docteur Brewstein. Adam (…)
Il était allongé par terre. Il resta dans cette position plus de deux heures de temps avant d’ouvrir un œil puis un autre. L’homme releva la tête. Il se trouvait dans un endroit caverneux, sépulcral et dépaysé. L’atmosphère était macabre. Il fut envahit (…)
À la fin du XVII siècle, les dragonnades et la révocation de l’Édit de Nantes ont des répercussions désagréables sur les protestants. du Midi toulousain. Que faire, se convertir ou fuir ? Dans ce récit, le milieu, les événements et les circonstances sont (…)
16 mai 2005, par Jean-Michel
j’ai trouver super bien votre nouvelles je l’ai bien aimer je vous félicite continuer a écrire des nouvelles fantastiques aurevoir
16 mai 2005, par Jean-Michel
C’est vrai que c’est vraiment tres bien ecrit, mais il parait que la critique ca fait avancer, alors juste une mini critique sur ce passage
Une bombe aurait pu exploser à coté d’eux, qu’ils ne s’en seraient même pas rendus compte. Soudain, le clapotis de l’eau les décrocha de leurs échanges
Pourquoi si une bombe ne les derangerai pas et le clapotis de l’eau oui ? Enfin , il n’y a que ca qui m’a derange