Accueil > Fantastique > Sa robe de pourpre au soleil
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Etouffés par la brume, les sons étaient à peine audibles. Etait-ce de la joie ou bien de la peine ? Non, seulement de la terreur. Le soleil s’était presque totalement éclipsé derrière les crocs de la montagne, surmontés d’un filament orange. Un crépuscule violacé et ténébreux tapissait désormais l’horizon. La brume grisâtre et épaisse presque matérialisée recula brusquement, s’éloignant de la rive pour aller se faire engloutir au centre du lac tout comme si une brèche venait de s’y former ! Après quelques instants, il ne persistait plus de cette brume épaisse que quelques flocons en suspension au-dessus de la masse liquide (que l’on ne pouvait pas distinguer auparavant) et immobiles comme du roc. De nouveau ces sons. De la terreur ? Non, seulement de la joie, de la peine...
En un bref sursaut, elle s’appuya sur les coudes et réveilla son mari. Terrorisée, elle lui balbutia :
– Tu as entendu ?...
Je fermai les yeux et l’ombre disparût. Les gouttes suaient de mon front comme des perles d’eau d’une stalactite. J’avais réussi à m’habituer à sa présence. En effet, elle m’était déjà apparût pas mal de fois et j’avais compris qu’elle ne me ferait pas de mal. Je ne (...)
2005
Michel lisait un magazine quand une enveloppe glissa sous sa porte d’entrée. Surpris, il se leva et courut pour regarder par l’œil-de-bœuf. Personne dans la cage d’escalier déformée par le verre. Il se baissa et ramassa l’enveloppe. Aucune notification de (...)
Au collège, Gédéon Creil fait la connaissance de Geoffroy Barillé, un adolescent fragile et timoré de treize ans. Tous deux partagent le même engouement pour les univers fantastiques et deviennent inséparables.
Si vous croisez dans le désert un chameau, regardez-bien, il vous dira que sa vie est compliquée et pénible. Un jour un chameau dans le désert chantait, bla bla bla, mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs, oh, oh… ce serait le bonheur… hé bon sang ! Mais il (...)
Je me nomme Nathanÿel. Je ne sais qui je suis ni d’où je viens. Tout ce que je sais, c’est que je me suis réveillé, un jour de 1823, au sein du Manoir des Ombres. Habité par ce qui semble, à première vue, être des Humains à la durée de vie incroyablement longue, (...)
16 mai 2005, par Jean-Michel
j’ai trouver super bien votre nouvelles je l’ai bien aimer je vous félicite continuer a écrire des nouvelles fantastiques aurevoir
16 mai 2005, par Jean-Michel
C’est vrai que c’est vraiment tres bien ecrit, mais il parait que la critique ca fait avancer, alors juste une mini critique sur ce passage
Une bombe aurait pu exploser à coté d’eux, qu’ils ne s’en seraient même pas rendus compte. Soudain, le clapotis de l’eau les décrocha de leurs échanges
Pourquoi si une bombe ne les derangerai pas et le clapotis de l’eau oui ? Enfin , il n’y a que ca qui m’a derange